Rapport d'information n° 103 (2004-2005) de Mme Gisèle GAUTIER , fait au nom de la délégation aux droits des femmes, déposé le 8 décembre 2004

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N° 103

SÉNAT

SESSION ORDINAIRE DE 2004-2005

Annexe au procès-verbal de la séance du 8 décembre 2004

RAPPORT D'INFORMATION

FAIT

au nom de la délégation du Sénat aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes (1) sur les résultats du sondage téléphonique sur la situation professionnelle des femmes au titre du bilan de la loi n° 2001-397 du 9 mai 2001 relative à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, déposé en application de l'article 6 septies de l'ordonnance n° 58-1100 du 17 novembre 1958 relative au fonctionnement des assemblées parlementaires,

Par Mme Gisèle GAUTIER,

Sénateur.

(1) Cette délégation est composée de : Mme Gisèle Gautier, présidente ; Mmes Paulette Brisepierre, Yvon Collin, Annie David, M. Patrice Gélard, Mmes Gisèle Printz, Janine Rozier, vice-présidents ; M. Yannick Bodin, Mme Yolande Boyer, M. Jean-Guy Branger, Mme Joëlle Garriaud-Maylam, secrétaires ; Mme Jacqueline Alquier, M. David Assouline, Mmes Brigitte Bout, Claire-Lise Campion, Monique Cerisier-ben Guiga, M. Gérard Cornu, Mmes Isabelle Debré, Sylvie Desmarescaux, Muguette Dini, Josette Durrieu, M. Alain Gournac, Mmes Françoise Henneron, Christiane Hummel, Christiane Kammermann, Bariza Khiari, M. Serge Lagauche, Mmes Elisabeth Lamure, Hélène Luc, M. Philippe Nachbar, Mme Anne-Marie Payet, M. Jacques Pelletier, Mmes Catherine Procaccia, Catherine Troendle, M. André Vallet.

Femmes.

AVANT-PROPOS

Mesdames, Messieurs,

La délégation aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes avait consacré son rapport d'activité 2002 aux inégalités salariales entre les hommes et les femmes 1 ( * ) .

Elle y avait montré qu'en dépit d'un cadre juridique favorable à l'égalité salariale, les inégalités de rémunérations entre hommes et femmes persistaient. La délégation s'était préoccupée, d'une manière générale, des inégalités de salaires en tant que révélateur de la place respective des hommes et des femmes dans le monde du travail et s'était attachée à discerner les enjeux et les voies d'un rééquilibrage. Elle avait à cet égard formulé huit recommandations.

La délégation a souhaité poursuivre ses travaux sur ce sujet , d'une part, en appréciant les évolutions intervenues depuis lors en matière d'égalité salariale, et, d'autre part, en procédant à une première évaluation et à un contrôle de l'application de la loi n° 2001-397 du 9 mai 2001 relative à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, dite « loi Génisson ».

Ce faisant, elle se situe tout à fait dans l'esprit des principes énoncés par le président du Sénat.

En effet, dans son discours d'orientation, prononcé au cours de la séance du 12 octobre 2004, M. Christian Poncelet déclarait que « l'avenir du Sénat dépend, dans une large mesure, de sa capacité à renforcer sa fonction de contrôleur vigilant et son rôle d'évaluateur avisé ».

Au cours de sa réunion du 13 avril 2004, la délégation du Sénat aux droits des femmes a décidé de commander un sondage téléphonique sur la situation professionnelle des femmes et l'application de la « loi Génisson ». Elle a souhaité que l'enquête, afin d'avoir une valeur statistique solide, soit conduite sur un échantillon large de 2.000 responsables des ressources humaines d'entreprises de 50 salariés et plus.

Dans le cadre d'une procédure de passation de marché, la délégation, pour effectuer ce sondage, a retenu l'IFOP parmi douze candidats, au cours de sa réunion du 13 juillet 2004.

L'enquête, menée du 27 septembre au 18 octobre 2004, produit des résultats très révélateurs de la persistance des inégalités professionnelles entre les hommes et les femmes et montre que les femmes demeurent minoritaires au sein des fonctions dirigeantes et parmi les rémunérations les plus élevées de l'entreprise.

Quant à la « loi Génisson », son application est mitigée, voire médiocre sur certains points, ce qui n'est guère surprenant.

A l'occasion de l'examen par le Sénat de la proposition de loi qui allait devenir la « loi Génisson », notre collègue Gérard Cornu, dans son rapport d'information établi au nom de la délégation 2 ( * ) , écrivait, à propos des rôles respectifs du législateur et de la négociation salariale : « la priorité devrait être à l'utilisation des moyens légaux et réglementaires existants. Les partenaires sociaux disposent d'un arsenal qui paraît assez complet mais y recourent insuffisamment. Est-il raisonnable dès lors de faire peser de nouvelles obligations sur les entreprises alors que le dispositif de la loi Roudy demeure peu ou mal appliqué ? A trop compliquer les textes, on encourt le risque d'en compromettre d'entrée de jeu l'application ».

Les faits observés aujourd'hui corroborent l'analyse de cette époque.

*

* *

Les résultats du sondage, présentés ci-après, mettent en évidence les limites de la contrainte législative sur un tel sujet de société.

A cet égard, la démarche engagée par Mme Nicole Ameline, ministre de la parité et de l'égalité professionnelle repose - à juste titre - sur un dialogue social impliquant l'ensemble des partenaires sociaux, représentants des employeurs et des salariés, et les entreprises. Elle a permis d'aboutir, en mars 2004, à un accord national interprofessionnel sur l'égalité professionnelle.

En outre, le ministère a également mis en place un « label égalité » qui permet de signaler les entreprises les plus respectueuses de l'égalité professionnelle. La labellisation constitue une méthode à la fois incitative et dissuasive puisqu'elle désigne, au niveau des consommateurs, et plus généralement à celui de l'opinion publique, les entreprises peu sensibilisées à cette question.

Votre délégation forme le voeu, eu égard à l'ampleur du chemin qui reste à parcourir, qu'une telle démarche, sur un sujet comme celui de l'égalité professionnelle, apporte des résultats plus tangibles que des dispositions législatives dans l'ensemble peu respectées.

Néanmoins, la délégation poursuivra ses travaux sur l'égalité professionnelle. Disposant désormais, avec ce sondage, d'un état des lieux très complet, elle s'intéressera aux voies et moyens d'une meilleure application de la « loi Génisson » en interrogeant l'administration chargée de sa mise en oeuvre et de son suivi.

SONDAGE TÉLÉPHONIQUE RÉALISÉ PAR L'IFOP
SUR LA SITUATION PROFESSIONNELLE DES FEMMES
AU TITRE DU BILAN DE LA LOI N° 2001-397 DU 9 MAI 2001
RELATIVE À L'ÉGALITÉ ROFESSIONNELLE
ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES
SYNTHÈSE DES PRINCIPAUX RÉSULTATS

JF/DP N° 1-4586

Contacts IFOP : Jérôme Fourquet / Damien Philippot

L'enquête a été menée à la demande de la délégation du Sénat aux droits des femmes et à l'égalité des chances entre les hommes et les femmes auprès de 2005 DRH ou responsables des ressources humaines d'entreprises de 50 salariés et plus, du 27 septembre au 18 octobre.

Les deux premières parties du questionnaire sont consacrées à la situation professionnelle des femmes (évaluation de la place des femmes parmi les salariés de l'entreprise, portrait de la femme la mieux rémunérée de l'entreprise). L'étude vient compléter de nombreux travaux statistiques et sociologiques sur cette question tout en apportant un regard nouveau, celui des ressources humaines. Elle produit des résultats très révélateurs de la persistance des inégalités professionnelles entre les hommes et les femmes, tant dans la hiérarchie des fonctions que celle des rémunérations.

Toutefois, les enseignements de l'enquête ne permettent pas de faire à ce sujet un constat totalement négatif et laissent apparaître qu'une nouvelle génération de femmes, caractérisée par leur jeunesse et leur haut niveau de diplôme, parvient à occuper assez rapidement des postes de responsabilité au sein de l'entreprise. Cela permet d'envisager, sans faire preuve d'un optimisme excessif, que cette génération serait moins sujette que les plus anciennes aux inégalités professionnelles.

La troisième partie du questionnement de l'enquête concerne la loi du 9 mai 2001 relative à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, dite « loi Génisson ». Plus de trois ans après l'adoption de cette loi, il est intéressant de dresser un premier bilan de son application effective dans les entreprises. De ce point de vue, il importe de distinguer différents types de comportements face à la loi, essentiellement déterminés par la taille de l'entreprise.

Les ressources humaines constituent l'un des vecteurs principaux de l'application du droit du travail dans l'entreprise, tout en ayant pour vocation de répondre au mieux à ses besoins en main-d'oeuvre (recrutement, licenciement, restructuration du personnel, formation, promotion, mobilité, etc.). Elles jouent ainsi un rôle charnière entre les exigences du droit et celles du fonctionnement de l'entreprise. Les directeurs des ressources humaines sont donc à la fois particulièrement concernés par les évolutions du droit, et aptes à juger de leur applicabilité ainsi que de leur application effective au sein de l'entreprise. En cela, ils constituent la cible la plus intéressante à interroger dans le cadre d'une telle enquête.

1 L'évaluation de la situation des femmes dans l'effectif salarié

La proportion de femmes dans l'effectif salarié

Dans 69% des entreprises de plus de 50 salariés , selon les DRH interrogés, on compte moins de 50% de femmes parmi l'effectif salarié total de l'entreprise . Cette sous-représentation au sein des entreprises de taille moyenne et de grande taille tient en premier lieu à un taux d'activité féminin encore aujourd'hui inférieur à celui qu'on observe dans la population masculine. Elle s'explique par ailleurs par une concentration plus forte de l'emploi féminin au sein des structures les moins nombreuses (TPE par exemple).

Cet élément d'explication relatif à la taille de l'entreprise est confirmé par un autre enseignement de l'enquête. En effet, plus l'entreprise compte de salariés, plus la proportion de femmes dans l'effectif diminue (39% pour le entreprises de 50 à 99 salariés et 25% pour les entreprises de 1.000 salariés et plus).

En fait, le pourcentage féminin de l'effectif salarié de l'entreprise varie d'abord selon le secteur d'activité de l'entreprise . Si l'on note qu'en moyenne les entreprises comptent, selon les déclarations des DRH, pour 35% d'entre elles, moins de 20% de femmes dans leur effectif, on enregistre pour des secteurs traditionnellement féminins une proportion nettement plus importante de femmes dans l'effectif salarié. Citons ainsi le secteur de l'éducation, de la santé et du social dans lequel 64% des entreprises comptent plus de 80% de femmes. Sur ce sujet, les réponses des DRH confirment l'idée de la concentration de l'activité féminine sur certains secteurs (et non pas seulement sur certains métiers).

Enfin, notons que la structure des effectifs varie selon la zone géographique . En particulier, on rencontre davantage d'entreprises faiblement féminisées en province qu'en région parisienne (40% des entreprises comptent moins de 20% de femmes en province contre 25% en région parisienne).

La proportion de femmes à temps partiel parmi l'effectif féminin

Si l'on s'intéresse à présent à la proportion de femmes à temps partiel parmi l'effectif salarié féminin de l'entreprise, on note que, dans 29% des entreprises, elle est supérieure à 10%.

A nouveau sur cette question, des clivages émergent en fonction des différents secteurs d'activité. Ainsi, dans le secteur de l'hôtellerie et de la restauration, 33% des entreprises comptent plus de 60% de femmes à temps partiel (contre 5% en moyenne). A l'inverse, dans l'industrie, 84% des entreprises emploient moins de 10% de leur effectif féminin à temps partiel (contre 71% en moyenne). Précisons toutefois que ces résultats tiennent avant tout à la nature du métier considéré : dans le secteur de l'hôtellerie et de la restauration par exemple, le temps partiel touche fortement l'ensemble de l'effectif salarié, féminin ou masculin.

La taille de l'entreprise semble également un facteur assez clivant sur ce sujet, dans la mesure où dans les plus grandes entreprises, la part du salariat féminin employé à temps partiel est supérieure à la moyenne : ainsi, 54% des entreprises de 1.000 salariés et plus comptent moins de 10% de femmes à temps partiel parmi leur effectif féminin (contre 71% en moyenne).

Par ailleurs, conformément à une idée généralement répandue, les entreprises emploient plus souvent les femmes que les hommes à temps partiel . En effet, 9% des entreprises comptent plus de 10% d'hommes à temps partiel au sein de leur effectif masculin, contre 29% pour les femmes. Notons en parallèle que 85% des entreprises emploient moins de 5% de leur effectif masculin à temps partiel.

La rémunération des femmes de l'entreprise

L'analyse du nombre de femmes figurant parmi les dix rémunérations les plus élevées de l'entreprise laisse apparaître une forte inégalité salariale entre les femmes et les hommes.

En effet, si la proportion de femmes parmi les dix salaires les plus élevés était conforme au taux d'activité des femmes, la majorité des réponses aurait dû se situer autour de 3 ou 4 femmes parmi les dix premiers salaires. Or, on observe que, dans 23% des entreprises, aucune femme ne figure parmi les dix premières rémunérations et que dans 71% des entreprises, on ne compte que deux femmes .

Sur cette question encore une fois, les résultats varient sensiblement selon le secteur d'activité et la taille de l'entreprise. Ainsi, par exemple, dans le secteur de l'éducation, de la santé et du social, 57% des entreprises comptent 6 femmes ou plus parmi les dix rémunérations les plus élevées (contre 6% en moyenne). Par ailleurs, dans les entreprises de 1.000 salariés et plus, on trouve moins de 5 femmes parmi les dix premières rémunérations dans 95% des entreprises (contre 88% en moyenne).

Précisons cependant que ces variations tiennent principalement aux différentes proportions de femmes parmi l'effectif salarié total que l'on observe selon le secteur ou la taille de l'entreprise . En effet, dans les secteurs traditionnellement féminins, il est logique que les femmes soient plus nombreuses parmi les meilleures rémunérations. A l'inverse, leur position dans la hiérarchie des rémunérations est moins avantageuse dans d'autres secteurs où les hommes sont fortement représentés ainsi que dans les grandes entreprises où les femmes sont moins nombreuses que la moyenne.

Si la place des femmes parmi les dix premières rémunérations est plus favorable lorsque la proportion de femmes parmi l'effectif salarié total de l'entreprise augmente, on note toutefois, même au sein des entreprises les plus féminisées, des inégalités de rémunérations entre les femmes et les hommes importantes . Ainsi, au sein des entreprises où l'on compte plus de 80% de femmes, on trouve 5 femmes ou plus parmi les dix premières rémunérations dans seulement 56% d'entre elles.

Enfin, toujours sur le thème des écarts salariaux entre les femmes et les hommes, l'objectivité des réponses données par les personnes interrogées est confirmée par la similarité des perceptions entre les DRH femmes et leurs collègues de sexe masculin de l'évolution des écarts au cours de la carrière. Ainsi, les écarts diminuent pour 50% des DRH femmes contre 49% des DRH hommes. Les hommes font toutefois preuve d'un moindre pessimisme par rapport aux femmes puisque 8% d'entre eux estiment que les écarts salariaux augmentent alors que les femmes sont 14% à avoir ce sentiment.

2 La situation de la femme la mieux rémunérée de l'entreprise

Sa fonction et sa rémunération

Les réponses des DRH interrogés font apparaître que les fonctions stratégiques de l'entreprise sont peu occupées par des femmes. Il semble en effet que les postes à responsabilité managériale occupés par des femmes soient davantage liés à la direction d'une équipe opérationnelle (chef de service, unité ou de département dans 22% des entreprises). Notons que dans 21% des entreprises, la femme la mieux rémunérée est cadre sans fonction dirigeante, et que dans 12% des entreprises elle n'a pas le statut de cadre.

Une attention particulière à la plus haute fonction de l'entreprise, celle de PDG, montre que la place des femmes dans la hiérarchie reste défavorable. Il apparaît en effet que les femmes occupent très rarement la fonction de PDG (4% en moyenne), même au sein des entreprises les plus féminisées. Ainsi, cette fonction est occupée par une femme dans seulement 10% des entreprises qui comptent plus de 80% de femmes. De même, seules 14% des entreprises où l'on trouve 6 femmes ou plus parmi les dix premières rémunérations sont dirigées par une femme.

Ce constat relatif à la place de la femme la mieux rémunérée dans la hiérarchie des fonctions vaut aussi pour sa situation dans la hiérarchie de la rémunération. En effet, cette femme reçoit l'une des cinq premières rémunérations dans seulement 51% des entreprises.

Son âge, son ancienneté et son niveau de diplôme

Pour affiner le portrait de cette femme la mieux rémunérée de l'entreprise, on peut signaler les points suivants. Elle a le plus souvent :

- entre 35 et 44 ans (dans 39% des entreprises)

- entre 6 et 10 ans d'ancienneté (26% des entreprises)

- un diplôme de l'enseignement supérieur (67% des entreprises ).

L'âge de la femme la mieux rémunérée est compris dans 71% des entreprises entre 35 et 54 ans. Il varie sensiblement selon la taille de l'entreprise. En effet, au sein des entreprises qui comptent entre 50 et 99 salariés, la femme la mieux rémunérée est fréquemment plus jeune que la moyenne : dans 23% des cas, elle a entre 25 et 34 ans (contre 19% en moyenne). A l'inverse, elle est plus âgée dans les plus grandes entreprises : dans 42% des entreprises de 1000 salariés et plus, elle a entre 45 et 54 ans (contre 32% en moyenne).

L'ancienneté de la femme la mieux rémunérée de l'entreprise s'avère relativement faible : dans 57% des entreprises, elle est inférieure à 10 ans. Elle l'est encore plus dans certains secteurs. Par exemple, dans 16% des entreprises de l'hôtellerie et la restauration, la femme la mieux rémunérée compte 2 ans ou moins d'ancienneté (contre 12% des entreprises en moyenne). Nuançons ce propos en notant que l'ancienneté envisagée concerne la présence de la femme dans l'entreprise et non pas son exercice du métier correspondant.

L'ancienneté est également variable selon la taille de l'entreprise. Il apparaît en effet que l'ancienneté est plus élevée dans les structures les plus importantes. Ainsi, dans 57% des entreprises de 1.000 salariés et plus, la femme la mieux rémunérée a entre 6 et 15 ans d'expérience.

Deux interprétations permettent de comprendre ces variations de l'âge et de l'ancienneté de la femme la mieux rémunérée selon la taille de l'entreprise. On peut d'abord expliquer cette situation en considérant que les structures les plus petites sont plus facilement dirigées par des personnes peu expérimentées et donc plus jeunes, le sexe de ces personnes ayant peu d'importance. A l'inverse, on peut considérer qu'un « effet sexe » est à l'oeuvre : plus la structure est de taille importante, plus on a tendance à exiger des femmes une expérience avancée (et donc un âge élevé) pour occuper des fonctions plus stratégiques.

Les femmes les mieux rémunérées ont un niveau de diplôme élevé (un tiers ont un bac plus cinq au moins, 67% sont diplômées du supérieur dont 8% doublement diplômées).

Ce fort niveau d'éducation des femmes ayant des responsabilités peut expliquer que leur ancienneté et leur âge dans l'entreprise ne sont pas aussi élevés que ce que l'on aurait pu attendre. Cela laisse penser qu' une nouvelle génération de femmes dans l'entreprise, plus diplômées, accédant plus vite aux fonctions dirigeantes que leurs aînées, commencerait à occuper les fonctions les plus élevées et rémunérées, dans la limite de ce que l'entreprise accorde aujourd'hui comme responsabilités aux femmes .

3 Le niveau d'application de la loi du 9 mai 2001 relative à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes

Trois ans seulement après son adoption, la loi relative à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes fait l'objet d'une application mitigée, voire médiocre sur certains points .

Sur l'ensemble des questions concernant l'application de la loi Génisson, les réponses des DRH permettent d'identifier différents types d'entreprise. Le critère de la taille semble le plus déterminant dans leur attitude par rapport à la loi. On note ainsi que l'application de la loi Génisson est corrélée à la taille des entreprises : plus celles-ci sont importantes en taille, plus elles ont tendance à appliquer cette loi.

Cela tient probablement au fait qu'elles possèdent des services juridiques et des services ressources humaines plus fournis que les entreprises de taille plus modeste, et qu'elles sont donc plus à même de respecter le droit du travail, dans tous les domaines. Par ailleurs, les plus grandes entreprises sont caractérisées par une présence syndicale plus forte qui permet une meilleure surveillance de l'application des dispositions du code du travail.

Il apparaît plus difficile en revanche d'établir une distinction systématique selon le secteur auquel appartient l'entreprise.

On remarque par ailleurs que les entreprises qui respectent une partie des obligations de la loi sont davantage portées que les autres à respecter les dispositions complémentaires.

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise

Signe de l'application insuffisante de la loi, 72% des entreprises n'ont jamais organisé de négociations spécifiques sur le thème de l'égalité professionnelle entre les hommes et les femmes .

Dans 19% des entreprises, les négociations spécifiques prévues par la loi ont eu lieu en 2004, soit le même taux qu'en 2002 et légèrement moins qu'en 2003 (23%). Cette proportion monte à 32% parmi les entreprises de plus de 1.000 salariés. Par ailleurs, 18% des entreprises semblent s'engager à les organiser prochainement.

La faible part des DRH déclarant ne pas savoir si les négociations spécifiques ont ou non eu lieu est par ailleurs le signe que les dispositions de la loi ne leur sont pas inconnues.

Au total, 12% des DRH interrogés déclarent que leur entreprise a tenu des négociations spécifiques tous les ans depuis 2002, ce taux montant à 22% au sein des entreprises de 1.000 salariés et plus. Parmi ces dernières entreprises, 43% ont organisé des négociations spécifiques au moins une fois depuis 2002.

La tenue de négociations spécifiques dans la branche

Globalement, on observe qu'à l'échelle de la branche, les négociations spécifiques sur l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes ont davantage lieu qu'au niveau de l'entreprise . Cela s'explique surtout par le fait que la branche est traditionnellement un lieu plus favorable à l'exercice des négociations collectives. Toutefois, sur cette question, la proportion de DRH s'estimant incapables de répondre est supérieure à celle qu'on observait concernant les négociations au sein de l'entreprise.

Ainsi, selon les déclarations des DRH, pour 34% des entreprises, des négociations ont eu lieu au niveau de la branche, 31% des répondants ne se prononçant pas.

Sans surprise, au niveau de la branche, les réponses varient sensiblement selon le secteur d'activité de l'entreprise. Certains secteurs semblent ainsi plus propices que d'autres aux négociations spécifiques. Ainsi, parmi les entreprises du secteur de l'hôtellerie et de la restauration, le taux d'entreprises où les négociations spécifiques ont eu lieu atteint 43%. En revanche, il n'est que de 25% au sein dans le secteur des transports et des télécommunications.

Notons que 66% des entreprises qui, tous les ans, négocient en interne sur le sujet déclarent que des négociations ont eu lieu au niveau de la branche. Cela laisse supposer (et nous le vérifierons dans la suite des résultats) qu'il existe au sein des entreprises une certaine cohérence dans le comportement face à la loi : lorsque celle-ci est appliquée sur un point, il y a de fortes chances pour qu'elle le soit sur les autres dispositions.

L'inclusion de la thématique de l'égalité hommes/femmes dans les négociations obligatoires déjà existantes

Plus de la moitié de l'ensemble des entreprises (52%) n'ont pas introduit le thème de l'égalité professionnelle entre les hommes et les femmes dans les négociations déjà existantes .

Toutefois, à l'échelle de l'entreprise, l'inclusion de la thématique de l'égalité professionnelle hommes/femmes est plus systématique que l'organisation de négociations spécifiques . En effet, 46% des DRH interrogés déclarent que leur entreprise a inclus ce thème dans les négociations déjà existantes (contre 19% pour les négociations spécifiques).

Les réponses varient sensiblement selon le profil de l'entreprise. S'il s'agit d'entreprises ayant tenu tous les ans les négociations spécifiques, ce taux monte à 79%. En revanche, il descend à 34% parmi les entreprises qui n'ont jamais organisé de telles négociations.

La taille de l'entreprise constitue toujours un élément déterminant dans son attitude face à la loi. En effet, on observe que plus celle-ci augmente, plus l'entreprise est respectueuse de la loi sur ce sujet. Ainsi, 73% des entreprises de plus de 1.000 salariés ont inclus le thème de l'égalité hommes/femmes dans leurs négociations existantes, contre 36% des entreprises comptant entre 50 et 99 salariés.

Au niveau de la branche, les résultats montrent un meilleur respect de la loi puisque, pour 51% des DRH, la thématique a été introduite au niveau des négociations de la branche à laquelle leur entreprise appartient .

Le jugement sur l'efficacité des négociations

Les négociations non spécifiques sont jugées plus favorablement que les négociations spécifiques. Il en va de même pour les négociations au niveau de la branche par rapport à celles de l'entreprise.

Ainsi, 48% des interviewés estiment que les négociations non spécifiques au niveau de la branche ont permis des avancées significatives . Ils sont 45% en ce qui concerne les négociations non spécifiques au niveau de l'entreprise, 43% pour la négociation spécifique triennale au niveau de la branche et 41% pour la négociation spécifique annuelle dans l'entreprise. On constate que les résultats varient peu et révèlent des DRH partagés quant à l'efficacité des négociations menées au sein de leur entreprise ou au niveau de la branche à laquelle leur entreprise appartient.

4. Les pratiques et les jugements concernant le rapport de situation comparée

Dans 60% des entreprises, le rapport de situation comparée n'a jamais été écrit depuis 2002. La proportion d'entreprises dans lesquelles le rapport est écrit évolue peu dans le temps : 32% en 2004, 30% en 2002 et 35% en 2003.

Précisons toutefois que la rédaction du rapport de situation comparée fait l'objet d'une application variable selon le profil de l'entreprise . Si, dans l'ensemble, 32% des DRH déclarent qu'il a été rédigé en 2004 dans leur entreprise, ils sont 58% dans les entreprises où les négociations spécifiques ont lieu tous les ans. En revanche, ils ne sont que 26% dans celles où aucune négociation spécifique n'a jamais eu lieu.

Au total, ce sont 25% des entreprises dans lesquelles le rapport a été écrit tous les ans depuis l'entrée en vigueur de la loi. A nouveau, les entreprises les plus respectueuses de la loi sur la tenue des négociations le sont sur la question du rapport. En effet, dans 53% des entreprises au sein desquelles des négociations spécifiques ont eu lieu tous les ans, un rapport a également été produit annuellement. En revanche, dans 70% des entreprises où aucune négociation spécifique n'a eu lieu depuis 2002, aucun rapport n'a été écrit en trois ans.

Parmi les entreprises qui ont rédigé au moins une année un rapport de situation, 87% l'ont transmis au comité d'entreprise. Ce taux progresse en fonction de la taille de l'entreprise et atteint 98% pour les entreprises de plus de 1.000 salariés. La transmission du rapport semble plus fréquente en interne qu'en externe. En effet, 60% des entreprises envoient ce rapport à l'inspection du travail. Le respect de cette disposition de la loi est encore une fois corrélé à la taille de l'entreprise.

L'ensemble des indicateurs utilisés pour la rédaction du rapport sont jugés pertinents par une majorité des DRH interrogés, à l'exception des données en matière d'embauches et de départs (46% jugent ce dernier critère pertinent, contre 53% qui pensent le contraire). L'indicateur le plus pertinent aux yeux des DRH a trait à la rémunération effective (80% le jugent pertinent).

Enfin, notons que ces indicateurs sont portés à la connaissance des salariés dans 48% des cas. Les entreprises de plus grande taille apparaissent plus respectueuses sur ce point précis du dispositif issu de la loi Génisson : les salariés peuvent ainsi avoir connaissance des indicateurs dans 62% des entreprises de plus de 1.000 salariés.

RÉSULTATS DÉTAILLÉS

SOMMAIRE

1 - La méthodologie 27

2 - Les résultats de l'étude 29

A - L'évaluation de la proportion de femmes dans l'effectif salarié 29

La proportion de femmes dans l'effectif salarié de l'entreprise 30

La proportion de femmes à temps partiel parmi l'effectif féminin 31

La proportion d'hommes à temps partiel parmi l'effectif masculin 34

Le nombre de femmes figurant parmi les dix rémunérations
les plus élevées 36

La perception de l'évolution des écarts salariaux hommes/femmes au

cours de la carrière 38

B - La situation de la femme la mieux rémunérée de l'entreprise 41

La fonction de la femme la mieux rémunérée dans l'entreprise 41

Sa place dans la hiérarchie de la rémunération 44

L'âge de la femme la mieux rémunérée dans l'entreprise 47

Son ancienneté 49

Son niveau de diplôme 51

C - Le niveau d'application de la loi Génisson 53

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise en 2004 53

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise en 2003 55

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise en 2002 57

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise entre 2002
et 2004 59

La tenue de négociations spécifiques dans la branche 61

L'inclusion de la thématique de l'égalité homme/femme dans les
négociations obligatoires dans l'entreprise 63

L'inclusion de la thématique de l'égalité homme/femme dans les
négociations obligatoires dans la branche 65

Le jugement sur l'efficacité de certaines négociations 67

D - Les pratiques et les jugements concernant le rapport de situation 72

La rédaction dans l'entreprise en 2004 d'un rapport sur la situation
comparée des hommes et des femmes 72

La rédaction dans l'entreprise en 2003 d'un rapport sur la situation
comparée des hommes et des femmes 74

La rédaction dans l'entreprise en 2002 d'un rapport sur la situation
comparée des hommes et des femmes 76

La rédaction dans l'entreprise d'un rapport sur la situation comparée
des hommes et des femmes 78

La présentation du rapport au comité d'entreprise 80

La transmission du rapport à l'inspection du travail 82

La pertinence accordée à certains indicateurs 84

La présentation de ces indicateurs aux salariés de l'entreprise 93

1 - LA MÉTHODOLOGIE

Ce document présente les résultats d'une étude réalisée par l'Ifop. Elle respecte fidèlement les principes scientifiques et déontologiques de l'enquête par sondage. Les enseignements qu'elle indique reflètent un état de l'opinion à l'instant de sa réalisation et non pas une prédiction.

Etude réalisée par l'Ifop pour :
la Délégation du Sénat aux droits des femmes

Echantillon

Echantillon de 2005 personnes, représentatif de la population des DRH et des responsables de ressources humaines travaillant dans les entreprises de 50 salariés et plus.

La représentativité de l'échantillon a été assurée par la méthode des quotas (taille et secteur d'activité de l'entreprise) après stratification par région.

Afin de disposer de bases statistiques suffisantes, certaines catégories d'entreprises ont été sur-représentées puis ramenées à leur poids réel lors de la sortie informatique des résultats d'ensemble

Mode de recueil

Les interviews ont eu lieu par téléphone sur le lieu de travail des personnes interrogées.

Dates de terrain

Du 27 septembre au 18 octobre 2004

2 - LES RÉSULTATS DE L'ÉTUDE

A. - L'évaluation de la proportion des femmes dans l'effectif salarié

La proportion de femmes dans l'effectif salarié de l'entreprise

Question : Quelle est la proportion de femmes dans l'effectif total salarié de votre entreprise ? Je vais vous indiquer différentes tranches et vous me direz laquelle correspond à la situation de votre entreprise.

Ensemble

Paris / Région Parisienne

Province

(%)

(%)

(%)

ï Moins de 20%

35

25

40

ï De 20 à 40%

21

23

20

ï De 40 à 50%

13

18

11

ï De 50 à 60%

11

14

9

ï De 60 à 80%

13

14

13

ï Plus de 80%

7

6

7

- Ne se prononcent pas

-

-

-

TOTAL

100

100

100

La proportion de femmes dans l'effectif salarié de l'entreprise

Moins de 20%

De 20 à 40%

De 40 à 50%

De 50 à 60%

De 60 à 80%

Plus de 80%

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

35

21

13

11

13

7

TAILLE

50 à 99 salariés

39

17

14

9

13

8

100 à 199 salariés

36

22

10

11

14

7

200 à 249 salariés

30

25

12

13

15

5

250 à 499 salariés

26

25

14

14

15

6

500 à 999 salariés

27

36

13

13

9

2

1000 salariés et plus

25

33

12

17

12

1

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

37

28

13

9

8

5

BTP

94

5

-

-

1

-

Commerce

35

18

10

11

20

6

Hôtellerie / Restaurants

5

15

27

31

18

4

Transports et télécommunications

73

17

6

3

-

1

Activités Financières / Immobilier

2

12

30

32

24

-

Services aux entreprises

23

22

9

13

23

10

Education / Santé / Action sociale

2

2

2

3

27

64

Services aux particuliers

20

25

26

9

12

8

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

40

20

12

11

12

5

Femme

33

21

14

10

14

8

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

30

21

15

12

13

9

18 - 24 ans (*)

33

18

24

13

11

1

25 - 34 ans

31

21

14

12

13

9

35 ans et plus

37

21

12

10

14

6

35 - 49 ans

36

21

14

11

13

5

50 ans et plus

39

20

10

9

14

8

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

57

26

9

5

3

-

1

50

20

12

10

7

1

2

30

26

16

8

14

6

3

23

23

18

15

17

4

4

6

9

19

22

32

12

5

2

13

12

27

31

15

6 et plus

3

4

5

11

29

48

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

33

29

13

8

14

3

2 fois

29

20

21

8

19

3

1 fois

33

16

12

11

20

8

Jamais

37

20

12

11

12

8

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

39

25

11

9

12

4

Plutôt tendance à diminuer

32

23

15

11

13

6

Les écarts ne varient pas

37

17

11

12

14

9

REGION

Paris / région parisienne

25

23

18

14

14

6

Province

40

20

11

9

13

7

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La proportion de femmes à temps partiel parmi l'effectif féminin

Question : Parmi les femmes salariées de votre entreprise, quelle est la proportion de femmes travaillant à temps partiel ?

Ensemble

(%)

ï Moins de 10%

71

ï De 10 à 20%

12

ï De 20 à 30%

5

ï De 30 à 40%

2

ï De 40 à 50%

3

ï De 50 à 60%

2

ï De 60 à 80%

2

ï Plus de 80%

3

- Ne se prononcent pas

-

TOTAL

100

La proportion de femmes à temps partiel parmi l'effectif féminin

Moins

de 10%

De 10

à 20%

De 20

à 30%

De 30

à 40%

De 40

à 50%

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

71

12

5

2

3

TAILLE

50 à 99 salariés

71

9

5

2

4

100 à 199 salariés

73

13

4

3

2

200 à 249 salariés

71

14

5

3

1

250 à 499 salariés

70

13

7

1

3

500 à 999 salariés

67

19

3

3

4

1000 salariés et plus

54

27

12

4

1

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

84

12

3

1

-

BTP

81

6

3

2

5

Commerce

67

10

6

4

7

Hôtellerie / Restaurants

45

3

4

4

5

Transports et télécommunications

78

5

4

4

4

Activités Financières / Immobilier

60

25

9

3

2

Services aux entreprises

57

14

6

2

3

Education / Santé / Action sociale

45

28

14

6

2

Services aux particuliers

67

13

8

3

2

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

69

12

6

2

4

Femme

72

12

4

3

2

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

69

10

5

4

4

18 - 24 ans (*)

65

16

3

4

2

25 - 34 ans

69

10

5

4

4

35 ans et plus

72

12

5

2

3

35 - 49 ans

72

11

6

2

3

50 ans et plus

71

14

4

2

3

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

81

9

3

2

2

De 20 à 40%

80

11

5

2

1

De 40 à 50%

74

10

7

1

3

De 50 à 60%

63

15

5

2

4

De 60 à 80%

45

19

7

6

7

Plus de 80%

40

15

11

4

4

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

76

12

5

2

2

1

77

10

6

2

1

2

72

10

5

2

3

3

70

11

3

2

5

4

62

17

4

5

1

5

50

12

5

7

12

6 et plus

45

17

14

2

4

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

71

13

5

3

2

2 fois

66

16

4

5

4

1 fois

67

14

7

5

1

Jamais

72

11

5

2

3

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

70

12

6

2

3

Plutôt tendance à diminuer

71

12

5

3

3

Les écarts ne varient pas

70

12

5

2

3

REGION

Paris / région parisienne

76

12

5

1

2

Province

69

12

5

3

3

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La proportion de femmes à temps partiel parmi l'effectif féminin

De 50

à 60%

De 60

à 80%

Plus

de 80%

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

2

2

3

-

TAILLE

50 à 99 salariés

2

3

4

-

100 à 199 salariés

1

2

1

1

200 à 249 salariés

-

1

4

1

250 à 499 salariés

3

2

1

-

500 à 999 salariés

1

1

2

-

1000 salariés et plus

2

-

-

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

-

-

-

-

BTP

1

1

1

-

Commerce

3

1

2

-

Hôtellerie / Restaurants

5

16

17

1

Transports et télécommunications

1

2

2

-

Activités Financières / Immobilier

-

-

1

-

Services aux entreprises

4

6

8

-

Education / Santé / Action sociale

1

3

1

-

Services aux particuliers

1

2

3

1

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

2

3

2

-

Femme

2

2

3

-

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

2

2

4

-

18 - 24 ans (*)

2

3

5

-

25 - 34 ans

2

2

4

-

35 ans et plus

2

2

2

-

35 - 49 ans

1

3

2

-

50 ans et plus

2

2

2

-

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

1

1

1

-

De 20 à 40%

-

-

1

-

De 40 à 50%

1

1

2

1

De 50 à 60%

4

4

3

-

De 60 à 80%

4

6

6

-

Plus de 80%

4

7

13

2

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

-

2

1

-

1

1

1

2

-

2

2

2

4

-

3

4

4

1

-

4

3

1

7

-

5

3

6

5

-

6 et plus

4

5

7

2

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

2

1

2

1

2 fois

1

2

2

-

1 fois

1

2

3

-

Jamais

2

2

3

-

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

-

4

3

-

Plutôt tendance à diminuer

2

2

2

-

Les écarts ne varient pas

2

2

4

-

REGION

Paris / région parisienne

1

2

1

-

Province

2

2

4

-

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La proportion d'hommes à temps partiel parmi l'effectif masculin

Question : Et parmi les hommes salariés de votre entreprise, quelle est la proportion d'hommes travaillant à temps partiel ?

Ensemble

(%)

ï Moins de 5%

85

ï De 5 à 10%

6

ï De 10 à 20%

3

ï De 20 à 40%

2

ï Plus de 40%

4

- Ne se prononcent pas

-

TOTAL

100

La proportion d'hommes à temps partiel parmi l'effectif masculin

Moins de 5%

De 5 à 10%

De 10 à 20%

De 20 à 40%

Plus de 40%

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

85

6

3

2

4

-

TAILLE

50 à 99 salariés

83

6

3

2

6

-

100 à 199 salariés

88

6

3

2

1

-

200 à 249 salariés

87

6

2

1

3

1

250 à 499 salariés

85

8

2

3

2

-

500 à 999 salariés

85

9

3

1

2

-

1000 salariés et plus

84

9

2

3

1

1

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

93

6

1

-

-

-

BTP

97

1

-

1

-

1

Commerce

89

5

3

1

2

-

Hôtellerie / Restaurants

42

11

6

3

37

1

Transports et télécommunications

80

4

4

6

6

-

Activités Financières / Immobilier

89

5

5

1

-

-

Services aux entreprises

75

7

5

5

8

-

Education / Santé / Action sociale

73

17

4

2

4

-

Services aux particuliers

80

8

3

4

5

-

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

82

8

3

3

4

-

Femme

87

5

2

2

4

-

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

81

7

4

2

6

-

18 - 24 ans (*)

84

4

3

4

5

-

25 - 34 ans

81

7

4

2

6

-

35 ans et plus

87

6

2

2

3

-

35 - 49 ans

85

6

3

2

4

-

50 ans et plus

87

6

2

3

2

-

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

93

3

2

1

1

-

De 20 à 40%

88

7

2

2

1

-

De 40 à 50%

81

9

2

2

6

-

De 50 à 60%

77

8

3

4

8

-

De 60 à 80%

75

8

5

5

7

-

Plus de 80%

75

5

5

4

11

-

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

91

5

2

1

1

-

1

91

4

2

1

2

-

2

85

8

1

3

3

-

3

82

6

5

3

4

-

4

73

12

4

2

9

-

5

69

7

5

6

13

-

6 et plus

70

7

7

4

12

-

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

87

6

3

1

3

-

2 fois

84

8

3

1

4

-

1 fois

82

6

4

3

5

-

Jamais

85

6

3

2

4

-

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

85

6

3

3

3

-

Plutôt tendance à diminuer

87

6

2

2

3

-

Les écarts ne varient pas

83

6

3

3

5

-

REGION

Paris / région parisienne

88

6

1

2

3

-

Province

84

6

3

2

5

-

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

Le nombre de femmes figurant parmi les dix rémunérations les plus élevées

Question : Combien de femmes figurent parmi les dix rémunérations les plus élevées de votre entreprise ?

Ensemble

Proportion de femmes
dans l'effectif salarié

De 50% à 60%

De 60% à 80%

Plus de 80%

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Aucune

23

12

6

-

ï 1

25

23

13

4

ï 2

23

17

24

19

ï 3

10

14

14

7

ï 4

7

13

16

12

ï 5

5

14

12

12

ï 6

2

4

6

6

ï 7

1

1

3

10

ï 8

1

-

3

9

ï 9

1

-

-

8

ï 10

1

1

2

11

- Ne se prononcent pas

1

-

-

-

TOTAL

100

100

100

100

Le nombre de femmes figurant parmi les dix rémunérations
les plus élevées

0

1

2

3

4

5

6

7

8

9

10

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

23

25

23

10

7

5

2

1

1

1

1

1

TAILLE

50 à 99 salariés

17

25

25

10

8

6

3

2

2

-

1

1

100 à 199 salariés

24

26

21

10

7

5

2

1

1

2

1

-

200 à 249 salariés

28

25

18

10

7

6

1

-

1

1

2

1

250 à 499 salariés

28

25

21

13

5

3

1

-

-

-

1

3

500 à 999 salariés

46

22

15

7

3

1

1

1

1

-

1

2

1000 salariés et plus

44

25

17

8

1

2

-

1

1

-

-

1

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

29

28

22

10

5

2

2

-

-

-

1

1

BTP

40

41

11

6

-

1

-

-

-

-

-

1

Commerce

22

25

21

10

8

7

2

2

1

1

-

1

Hôtellerie / Restaurants

8

11

18

15

15

19

5

3

4

1

1

-

Transports et télécommunications

18

31

28

13

4

3

-

1

-

-

-

2

Activités Financières / Immobilier

21

20

31

11

9

5

-

1

-

-

-

2

Services aux entreprises

18

20

25

11

8

8

2

1

2

1

3

1

Education / Santé / Action sociale

-

1

11

10

7

8

13

12

15

12

5

6

Services aux particuliers

17

22

28

9

9

8

1

2

1

1

2

-

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

27

25

20

12

7

5

2

1

-

-

-

1

Femme

20

25

24

9

7

6

2

1

2

1

2

1

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

19

21

25

11

9

7

2

2

1

1

1

1

18 - 24 ans (*)

20

28

13

13

7

13

-

-

-

3

3

-

25 - 34 ans

19

20

26

11

9

6

2

2

2

1

1

1

35 ans et plus

24

26

22

10

6

5

2

1

1

1

1

1

35 - 49 ans

25

27

21

11

6

4

2

1

1

-

1

1

50 ans et plus

23

26

23

9

6

5

3

1

1

1

1

1

PROPORTION DE
FEMMES DANS
L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

36

35

19

7

1

-

1

-

-

-

-

1

De 20 à 40%

28

24

29

11

3

3

1

-

-

-

-

1

De 40 à 50%

16

24

27

14

10

5

-

-

1

1

-

2

De 50 à 60%

12

23

17

14

13

14

4

1

-

-

1

1

De 60 à 80%

6

13

24

14

16

12

6

3

3

-

2

1

Plus de 80%

-

4

19

7

12

12

6

10

9

8

11

2

TENUE DE
NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

24

27

20

14

6

6

-

-

-

-

1

2

2 fois

28

23

22

8

7

5

5

-

-

-

2

-

1 fois

19

23

24

10

9

6

4

1

1

-

2

1

Jamais

22

24

23

10

7

5

2

2

2

1

1

1

PERCEPTION DES
ECARTS SALARIAUX
HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

32

21

24

9

3

2

4

1

1

-

2

1

Plutôt tendance à diminuer

22

26

25

11

7

4

1

1

-

1

1

1

Les écarts ne varient pas

21

25

19

10

8

8

2

2

2

1

1

1

REGION

Paris / région parisienne

20

25

22

14

8

4

2

1

1

-

1

2

Province

24

25

23

9

6

6

2

1

1

1

1

1

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La perception de l'évolution des écarts salariaux hommes/femmes au cours de la carrière

Question : Avez-vous le sentiment que dans votre entreprise, les écarts de rémunération entre les hommes et les femmes ont plutôt tendance à augmenter ou plutôt tendance à diminuer au cours de la carrière ?

Ensemble

Sexe de l'interviewé

Hommes

Femmes

(%)

(%)

(%)

ï Plutôt tendance à augmenter

12

8

14

ï Plutôt tendance à diminuer

50

49

50

ï Les écarts ne varient pas

37

41

35

- Ne se prononcent pas

1

2

1

TOTAL

100

100

100

La perception de l'évolution des écarts salariaux
hommes/femmes au cours de la carrière

Plutôt tendance à augmenter

Plutôt tendance à diminuer

Les écarts ne varient pas

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

12

50

37

1

TAILLE

50 à 99 salariés

11

46

42

1

100 à 199 salariés

12

49

37

2

200 à 249 salariés

14

52

32

2

250 à 499 salariés

13

56

30

1

500 à 999 salariés

15

61

23

1

1000 salariés et plus

14

59

27

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

15

50

34

1

BTP

18

40

38

4

Commerce

12

53

34

1

Hôtellerie / Restaurants

9

37

54

-

Transports et télécommunications

9

49

41

1

Activités Financières / Immobilier

14

61

24

1

Services aux entreprises

11

49

38

2

Education / Santé / Action sociale

5

25

68

2

Services aux particuliers

5

53

41

1

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

8

49

41

2

Femme

14

50

35

1

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

12

56

30

2

18 - 24 ans (*)

20

45

35

-

25 - 34 ans

12

56

30

2

35 ans et plus

12

47

40

1

35 - 49 ans

14

48

37

1

50 ans et plus

8

45

45

2

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

13

45

39

3

De 20 à 40%

14

55

30

1

De 40 à 50%

10

56

33

1

De 50 à 60%

10

49

41

-

De 60 à 80%

10

49

41

-

Plus de 80%

7

43

47

3

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

17

47

34

2

1

10

51

38

1

2

13

54

31

2

3

10

54

36

-

4

5

49

45

1

5

6

39

55

-

6 et plus

14

36

48

2

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

12

57

31

-

2 fois

11

58

30

1

1 fois

17

54

28

1

Jamais

11

47

40

2

REGION

Paris / région parisienne

13

53

33

1

Province

11

48

39

2

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

B. - La situation de la femme la mieux rémunérée de l'entreprise

La fonction de la femme la mieux rémunérée dans l'entreprise

Question : Quelle est la fonction de la femme la mieux rémunérée de votre entreprise ?

Ensemble

Nombre de femmes dans les
10 plus hautes rémunérations

5

6 et plus

(%)

(%)

(%)

ï Chef de service / unité / département

22

19

17

ï Directrice des ressources humaines

9

5

4

ï Directrice financière

9

6

3

ï Directrice générale

9

15

27

ï Directrice du marketing

4

2

2

ï PDG

4

8

14

ï Directrice des ventes

3

6

6

ï Directrice générale adjointe

2

2

2

ï Directrice de la production

2

4

3

ï Directrice de la communication

1

-

-

ï Directrice des achats

1

-

-

ï Autre cadre

21

24

18

ï Non cadre

12

6

4

- Ne se prononcent pas

1

3

-

TOTAL

100

100

100

La fonction de la femme la mieux rémunérée dans l'entreprise

Chef de

service

unité

département

Directrice

des

ressources

humaines

Directrice

financière

Directrice

générale

Directrice

du

marketing

PDG

Directrice

des ventes

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

22

9

9

9

4

4

3

TAILLE

50 à 99 salariés

23

7

8

11

2

4

2

100 à 199 salariés

22

10

12

8

5

3

3

200 à 249 salariés

23

14

7

4

3

2

4

250 à 499 salariés

26

13

12

7

7

4

3

500 à 999 salariés

21

15

9

6

6

1

4

1000 salariés et plus

23

16

9

2

10

1

7

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

25

12

9

6

5

2

2

BTP

19

6

15

5

1

4

1

Commerce

25

10

9

10

4

3

5

Hôtellerie / Restaurants

24

8

4

17

3

1

3

Transports et télécommunications

27

9

7

10

1

4

2

Activités Financières / Immobilier

24

10

7

8

5

-

3

Services aux entreprises

21

10

9

8

1

5

2

Education / Santé / Action sociale

21

2

-

27

-

7

-

Services aux particuliers

16

5

11

15

8

6

2

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

28

2

8

8

3

3

3

Femme

19

15

10

10

4

4

2

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

24

8

11

11

5

4

1

18 - 24 ans (*)

33

3

12

4

1

2

-

25 - 34 ans

23

9

11

12

5

4

1

35 ans et plus

23

10

8

8

3

4

3

35 - 49 ans

23

10

9

8

4

3

3

50 ans et plus

23

9

8

8

3

4

3

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

23

9

11

5

3

3

1

De 20 à 40%

27

9

12

6

6

2

3

De 40 à 50%

23

13

9

8

4

1

4

De 50 à 60%

21

13

7

11

2

4

2

De 60 à 80%

19

7

7

14

5

7

5

Plus de 80%

22

3

2

26

3

10

3

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

27

7

4

1

4

-

2

1

20

14

14

4

5

4

2

2

22

10

12

14

3

2

2

3

30

10

10

10

5

5

2

4

21

6

8

16

3

6

5

5

19

5

6

15

2

8

6

6 et plus

17

4

3

27

2

14

6

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

25

16

11

4

3

2

2

2 fois

22

9

10

5

5

5

2

1 fois

25

8

7

11

2

3

3

Jamais

23

9

9

10

4

4

3

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

22

11

12

5

3

5

3

Plutôt tendance à diminuer

24

11

9

9

5

2

3

Les écarts ne varient pas

22

7

8

10

3

5

3

REGION

Paris / région parisienne

20

10

10

9

6

4

4

Province

24

9

9

9

3

3

2

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La fonction de la femme la mieux rémunérée dans l'entreprise

Directrice

générale

adjointe

Directrice

de la

production

Directrice

de la com-

munication

Directrice

des achats

Autre cadre

Non cadre

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

2

2

1

1

21

12

1

TAILLE

50 à 99 salariés

2

2

1

-

21

16

1

100 à 199 salariés

2

2

1

-

20

12

-

200 à 249 salariés

2

6

1

-

27

7

-

250 à 499 salariés

2

1

2

2

18

2

1

500 à 999 salariés

1

2

3

2

25

4

1

1000 salariés et plus

3

1

4

1

23

-

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

1

3

1

1

22

11

-

BTP

1

-

1

-

17

29

1

Commerce

2

1

1

1

18

10

1

Hôtellerie / Restaurants

6

2

3

-

11

17

1

Transports et télécommunications

2

1

1

-

16

20

-

Activités Financières / Immobilier

5

2

3

1

27

5

-

Services aux entreprises

4

3

1

-

27

9

-

Education / Santé / Action sociale

7

-

-

-

34

2

-

Services aux particuliers

2

2

1

-

19

11

2

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

2

3

1

1

19

18

1

Femme

3

1

1

-

23

8

-

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

2

1

1

1

19

12

-

18 - 24 ans (*)

1

3

3

-

16

19

3

25 - 34 ans

2

1

1

1

19

11

-

35 ans et plus

2

2

1

1

22

12

1

35 - 49 ans

2

2

1

-

21

13

1

50 ans et plus

2

2

1

1

24

11

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

1

1

1

1

20

20

1

De 20 à 40%

2

1

1

-

23

8

-

De 40 à 50%

2

2

2

1

23

8

-

De 50 à 60%

4

4

1

1

25

5

-

De 60 à 80%

3

4

1

-

18

9

1

Plus de 80%

3

3

-

-

18

6

1

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

-

-

2

-

25

27

1

1

1

2

1

1

22

10

-

2

4

1

1

1

20

8

-

3

3

3

-

1

15

6

-

4

4

6

1

-

16

8

-

5

2

4

-

-

24

6

3

6 et plus

2

3

-

-

18

4

-

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

3

3

1

1

23

5

1

2 fois

3

1

2

1

23

12

-

1 fois

3

1

-

1

21

14

1

Jamais

2

2

1

-

20

13

-

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

2

-

2

-

20

15

-

Plutôt tendance à diminuer

3

2

1

1

21

9

-

Les écarts ne varient pas

1

2

1

-

22

15

1

REGION

Paris / région parisienne

2

2

2

-

24

7

-

Province

2

2

1

1

20

14

1

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

Sa place dans la hiérarchie de la rémunération

Question : Et quelle est sa place dans la hiérarchie de la rémunération de votre entreprise dans son ensemble ?

Ensemble

Nombre de femmes dans les
10 plus hautes rémunérations

5

6 et plus

(%)

(%)

(%)

ï Première

8

20

31

ï Deuxième

13

23

33

ï Troisième

11

18

20

ï Quatrième

10

10

4

ï Cinquième

9

16

3

ï Sixième

6

2

2

ï Septième

4

2

2

ï Huitième

4

4

-

ï Neuvième

3

1

-

ï Dixième

5

3

-

ï Entre onzième et quinzième

9

3

-

ï Entre quinzième et vingtième

7

1

2

ï Vingt-et-unième et plus

7

1

-

- Ne se prononcent pas

4

2

3

TOTAL

100

100

100

Sa place dans la hiérarchie de la rémunération

Première

Deuxième

Troisième

Quatrième

Cinquième

Sixième

Septième

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

8

13

11

10

9

6

4

TAILLE

50 à 99 salariés

10

15

14

11

10

7

4

100 à 199 salariés

7

14

9

10

8

6

4

200 à 249 salariés

7

8

7

7

9

10

3

250 à 499 salariés

6

9

9

6

9

5

5

500 à 999 salariés

5

2

4

1

9

6

2

1000 salariés et plus

-

3

5

5

4

4

3

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

4

8

7

7

10

8

5

BTP

4

9

8

4

8

8

3

Commerce

9

12

9

12

8

5

3

Hôtellerie / Restaurants

13

24

21

12

7

6

4

Transports et télécommunications

9

18

14

13

10

5

3

Activités Financières / Immobilier

4

5

18

7

12

10

8

Services aux entreprises

12

15

13

10

9

5

3

Education / Santé / Action sociale

24

38

22

6

6

3

-

Services aux particuliers

11

19

13

13

10

7

4

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

7

10

13

10

8

6

5

Femme

9

15

10

9

10

6

3

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

10

15

11

11

9

6

4

18 - 24 ans (*)

5

9

27

2

8

5

5

25 - 34 ans

10

15

11

11

9

7

4

35 ans et plus

7

12

11

9

9

6

4

35 - 49 ans

7

11

11

9

10

6

4

50 ans et plus

7

15

11

10

8

6

4

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

5

10

7

9

8

5

3

De 20 à 40%

5

8

7

9

11

5

5

De 40 à 50%

2

13

14

11

13

7

6

De 50 à 60%

10

15

13

9

9

11

7

De 60 à 80%

14

20

17

14

9

7

4

Plus de 80%

28

27

20

6

5

5

1

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

1

1

1

1

1

1

1

1

5

12

9

12

10

8

6

2

8

16

13

14

13

7

6

3

8

12

15

13

20

16

4

4

16

22

23

13

5

11

2

5

20

23

18

10

16

2

2

6 et plus

31

33

20

4

3

2

2

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

6

10

9

8

11

5

4

2 fois

5

12

8

10

8

6

6

1 fois

12

16

10

7

9

4

3

Jamais

8

13

12

10

9

7

4

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

8

8

6

8

10

5

7

Plutôt tendance à diminuer

6

12

11

10

11

7

4

Les écarts ne varient pas

11

16

12

10

7

5

3

REGION

Paris / région parisienne

8

9

11

10

10

6

6

Province

8

15

11

9

9

6

3

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

Sa place dans la hiérarchie de la rémunération

Huitième

Neuvième

Dixième

Entre onzième et quinzième

Entre quinzième et vingtième

Vingt-et-unième et plus

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

4

3

5

9

7

7

4

TAILLE

50 à 99 salariés

3

2

4

7

6

4

3

100 à 199 salariés

5

3

7

9

7

7

4

200 à 249 salariés

7

4

5

14

8

6

5

250 à 499 salariés

6

3

6

13

9

7

7

500 à 999 salariés

7

5

4

13

14

16

12

1000 salariés et plus

11

2

9

6

8

29

11

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

5

3

8

12

10

7

6

BTP

3

4

7

15

12

14

1

Commerce

6

3

7

8

8

6

4

Hôtellerie / Restaurants

4

-

1

2

1

4

1

Transports et télécommunications

4

2

2

7

4

6

3

Activités Financières / Immobilier

7

3

2

5

9

6

4

Services aux entreprises

3

4

4

8

5

4

5

Education / Santé / Action sociale

-

-

-

-

-

-

1

Services aux particuliers

4

1

3

5

2

5

3

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

5

3

4

8

8

9

4

Femme

4

3

6

9

6

5

5

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

4

3

5

7

7

5

3

18 - 24 ans (*)

4

6

6

7

13

-

3

25 - 34 ans

4

2

4

7

7

6

3

35 ans et plus

5

3

6

9

7

7

5

35 - 49 ans

5

3

5

10

7

7

5

50 ans et plus

4

3

7

6

7

7

5

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

4

3

7

10

13

12

4

De 20 à 40%

6

3

6

15

7

7

6

De 40 à 50%

5

3

6

6

5

3

6

De 50 à 60%

4

3

5

4

3

3

4

De 60 à 80%

4

1

3

3

1

1

2

Plus de 80%

3

1

1

-

-

-

3

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

1

1

1

29

28

26

7

1

9

6

14

4

1

1

3

2

5

5

4

3

1

1

4

3

2

1

4

1

1

-

3

4

2

-

3

1

-

-

2

5

3

3

1

-

-

-

2

6 et plus

-

-

-

-

2

-

3

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

7

5

7

9

9

5

5

2 fois

3

2

3

13

7

10

7

1 fois

7

3

5

6

6

6

6

Jamais

4

3

5

8

7

6

4

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

6

1

8

14

8

8

3

Plutôt tendance à diminuer

5

3

5

8

8

6

4

Les écarts ne varient pas

4

3

4

7

6

7

5

REGION

Paris / région parisienne

6

3

5

8

7

5

6

Province

4

3

5

9

7

7

4

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

L'âge de la femme la mieux rémunérée dans l'entreprise

Question : Toujours au sujet de cette femme la mieux rémunérée de votre entreprise, quel est son âge ?

Ensemble

(%)

ï 18 à 24 ans

-

ï 25 à 34 ans

19

ï 35 à 44 ans

39

ï 45 à 54 ans

32

ï 55 à 60 ans

8

ï 61 ans et plus

2

- Ne se prononcent pas

-

TOTAL

100

L'âge de la femme la mieux rémunérée dans l'entreprise

18 à 24

ans

25 à 34

ans

35 à 44

ans

45 à 54

ans

55 à 60

ans

61 ans

et plus

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

-

19

39

32

8

2

-

TAILLE

50 à 99 salariés

1

23

35

32

7

2

-

100 à 199 salariés

-

16

42

32

9

1

-

200 à 249 salariés

-

20

40

34

6

-

-

250 à 499 salariés

-

16

42

32

7

2

1

500 à 999 salariés

-

8

49

28

12

1

2

1000 salariés et plus

-

4

50

42

2

2

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

-

16

41

35

7

1

-

BTP

1

21

31

35

11

1

-

Commerce

1

16

41

34

7

-

1

Hôtellerie / Restaurants

4

44

31

16

4

1

-

Transports et télécommunications

1

25

38

30

5

1

-

Activités Financières / Immobilier

-

8

35

42

13

2

-

Services aux entreprises

-

22

43

29

5

1

-

Education / Santé / Action sociale

-

5

29

50

14

2

-

Services aux particuliers

-

22

37

23

12

5

1

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

1

22

38

30

6

2

1

Femme

-

17

40

33

9

1

-

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

1

33

36

24

6

-

-

18 - 24 ans (*)

10

31

38

21

-

-

-

25 - 34 ans

-

33

37

24

6

-

-

35 ans et plus

-

14

40

35

9

2

-

35 - 49 ans

1

13

46

34

5

1

-

50 ans et plus

-

16

27

37

16

3

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

1

23

34

32

8

1

1

De 20 à 40%

-

16

42

33

7

2

-

De 40 à 50%

1

18

44

28

7

2

-

De 50 à 60%

-

21

41

30

6

1

1

De 60 à 80%

1

14

41

33

10

1

-

Plus de 80%

-

16

32

39

10

3

-

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

-

24

38

32

5

-

1

1

-

14

39

37

9

1

-

2

-

19

40

31

8

2

-

3

1

23

41

23

7

5

-

4

-

19

41

28

10

2

-

5

1

19

42

31

7

-

-

6 et plus

-

16

33

35

13

3

-

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

-

11

45

35

8

1

-

2 fois

1

18

38

35

8

-

-

1 fois

-

18

33

39

10

-

-

Jamais

-

20

39

31

8

2

-

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

-

15

37

40

6

2

-

Plutôt tendance à diminuer

1

19

43

29

7

1

-

Les écarts ne varient pas

-

19

35

34

10

1

1

REGION

Paris / région parisienne

-

14

42

31

10

3

-

Province

-

21

38

33

7

1

-

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

Son ancienneté

Question : Quelle est son ancienneté dans votre entreprise ?

Ensemble

(%)

ï 2 ans et moins

12

ï De 3 à 5 ans

19

ï De 6 à 10 ans

26

ï De 11 à 15 ans

16

ï De 16 à 20 ans

13

ï Plus de 20

13

- Ne se prononcent pas

1

TOTAL

100

Son ancienneté

2 ans et

moins

De 3 à 5

ans

De 6 à

10 ans

De 11 à

15 ans

De 16 à

20 ans

Plus de

20

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

12

19

26

16

13

13

1

TAILLE

50 à 99 salariés

12

18

28

16

13

12

1

100 à 199 salariés

9

20

29

16

12

14

-

200 à 249 salariés

12

27

17

16

11

17

-

250 à 499 salariés

10

25

21

20

13

11

-

500 à 999 salariés

20

22

16

12

13

13

4

1000 salariés et plus

10

15

30

27

9

9

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

10

20

23

20

13

14

-

BTP

12

17

15

21

15

20

-

Commerce

11

15

31

15

12

15

1

Hôtellerie / Restaurants

16

25

37

10

10

2

-

Transports et télécommunications

13

16

26

15

15

14

1

Activités Financières / Immobilier

10

16

22

17

17

18

-

Services aux entreprises

12

27

30

13

12

6

-

Education / Santé / Action sociale

12

23

20

11

10

20

4

Services aux particuliers

14

18

30

15

13

9

1

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

11

17

26

19

13

13

1

Femme

12

21

27

15

12

13

-

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

13

24

33

13

10

7

-

18 - 24 ans (*)

10

22

41

16

6

5

-

25 - 34 ans

13

24

33

13

10

7

-

35 ans et plus

11

18

24

17

14

15

1

35 - 49 ans

14

18

24

17

13

13

1

50 ans et plus

6

17

24

18

15

19

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

13

17

23

17

13

16

1

De 20 à 40%

13

22

25

16

11

12

1

De 40 à 50%

8

17

34

22

8

11

-

De 50 à 60%

15

23

28

14

9

9

2

De 60 à 80%

8

19

27

18

16

11

1

Plus de 80%

9

24

26

7

22

11

1

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

14

17

26

15

11

16

1

1

12

16

25

20

14

13

-

2

10

23

27

16

14

10

-

3

11

20

25

18

11

15

-

4

12

24

26

13

12

12

1

5

10

20

36

12

12

7

3

6 et plus

6

22

29

16

14

13

-

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

11

15

29

17

15

13

-

2 fois

14

22

22

19

10

13

-

1 fois

10

22

16

20

14

18

-

Jamais

12

20

27

16

12

12

1

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

12

22

24

14

11

17

-

Plutôt tendance à diminuer

12

19

27

18

12

12

-

Les écarts ne varient pas

10

19

28

15

14

13

1

REGION

Paris / région parisienne

12

19

30

17

11

11

-

Province

12

19

25

16

13

14

1

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

Son niveau de diplôme

Question : Quel est son niveau de formation ?

Ensemble

(%)

ï Double diplôme du supérieur

8

ï Bac plus cinq

33

ï Bac plus deux

26

ï Bac général

12

ï Bac technique

5

ï CAP / BEP

7

ï BEPC

1

ï Sans diplôme

3

- Ne se prononcent pas

5

TOTAL

100

Son niveau de diplôme

Double diplôme du supérieur

Bac plus cinq

Bac plus deux

Bac général

Bac technique

CAP BEP

BEPC

Sans diplôme

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

8

33

26

12

5

7

1

3

5

TAILLE

50 à 99 salariés

5

29

28

13

5

9

2

4

5

100 à 199 salariés

10

29

27

13

6

6

1

3

5

200 à 249 salariés

6

42

28

12

3

3

-

1

5

250 à 499 salariés

10

44

23

8

2

2

-

1

10

500 à 999 salariés

11

57

17

5

3

1

-

-

6

1000 salariés et plus

19

63

10

4

-

-

-

-

4

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

8

40

25

9

5

6

-

3

4

BTP

4

20

31

16

7

10

3

5

4

Commerce

7

27

30

11

5

9

1

3

7

Hôtellerie / Restaurants

4

22

39

15

4

5

2

3

6

Transports et télécommunications

3

29

29

11

7

11

3

3

4

Activités Financières / Immobilier

9

56

19

6

2

3

1

1

3

Services aux entreprises

11

40

21

10

2

5

2

4

5

Education / Santé / Action sociale

18

44

24

4

2

-

-

-

8

Services aux particuliers

7

25

27

22

5

4

1

2

7

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

6

27

30

15

5

7

1

3

6

Femme

9

37

23

10

5

6

2

3

5

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

7

36

27

13

4

3

1

2

7

18 - 24 ans (*)

3

32

23

16

5

7

3

1

10

25 - 34 ans

7

36

27

12

4

3

1

3

7

35 ans et plus

8

32

26

12

5

8

1

3

5

35 - 49 ans

8

32

28

10

5

7

1

4

5

50 ans et plus

8

32

23

14

5

9

2

2

5

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

5

28

30

13

6

10

2

3

3

De 20 à 40%

9

40

22

13

5

3

1

2

5

De 40 à 50%

6

35

28

12

6

3

1

2

7

De 50 à 60%

14

43

18

9

2

4

1

3

6

De 60 à 80%

11

30

27

9

3

5

1

5

9

Plus de 80%

6

29

28

8

4

13

2

5

5

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

5

34

27

15

6

6

1

2

4

1

8

32

29

11

4

7

2

3

4

2

7

37

25

12

5

6

1

3

4

3

12

31

26

12

5

5

1

3

5

4

14

28

26

13

3

4

-

5

7

5

9

36

19

7

2

12

2

1

12

6 et plus

7

30

27

10

3

11

2

4

6

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

12

37

23

9

6

6

1

2

4

2 fois

9

32

34

7

4

5

1

1

7

1 fois

5

42

21

15

4

7

1

2

3

Jamais

7

32

26

12

5

7

1

4

6

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

11

37

20

8

9

4

2

5

4

Plutôt tendance à diminuer

8

37

27

12

4

5

1

2

4

Les écarts ne varient pas

6

27

27

13

4

10

2

4

7

REGION

Paris / région parisienne

14

41

21

6

2

4

1

5

6

Province

5

30

29

14

6

8

1

2

5

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

C. - Le niveau d'application de la loi Génisson

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise en 2004

Question : Nous allons maintenant parler de l'application dans votre entreprise de la loi du 9 mai 2001, dite loi Génisson, relative à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. Vous savez que cette loi prévoit l'organisation de négociations spécifiques sur l'égalité professionnelle hommes-femmes, tous les trois ans au niveau de la branche et tous les ans au niveau de l'entreprise. Dans votre entreprise, ces négociations spécifiques ont-elles effectivement eu lieu cette année ?

Ensemble

Entreprises de 50 à 99 salariés

Entreprises de 250 à 499 salariés

Entreprises de plus de 1000 salariés

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Oui, elles ont déjà eu lieu

19

13

28

32

ï Non, mais elles vont avoir lieu prochainement

18

16

19

23

ï Non, et elles n'auront pas lieu prochainement

60

68

48

40

- Ne se prononcent pas

3

3

5

5

TOTAL

100

100

100

100

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise en 2004

Oui, elles ont déjà eu lieu

Non, mais elles vont avoir lieu prochainement

Non, et elles n'auront pas lieu prochainement

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

19

18

60

3

TAILLE

50 à 99 salariés

13

16

68

3

100 à 199 salariés

22

19

56

3

200 à 249 salariés

25

16

55

4

250 à 499 salariés

28

19

48

5

500 à 999 salariés

30

25

42

3

1000 salariés et plus

32

23

40

5

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

23

17

58

2

BTP

12

17

68

3

Commerce

15

19

64

2

Hôtellerie / Restaurants

19

17

53

11

Transports et télécommunications

23

15

60

2

Activités Financières / Immobilier

19

30

47

4

Services aux entreprises

18

19

60

3

Education / Santé / Action sociale

16

15

65

4

Services aux particuliers

17

16

60

7

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

20

20

57

3

Femme

18

17

62

3

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

19

20

56

5

18 - 24 ans (*)

22

15

45

18

25 - 34 ans

19

20

57

4

35 ans et plus

19

17

61

3

35 - 49 ans

19

16

62

3

50 ans et plus

19

19

60

2

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

16

16

65

3

De 20 à 40%

22

20

56

2

De 40 à 50%

22

16

57

5

De 50 à 60%

15

23

57

5

De 60 à 80%

23

21

52

4

Plus de 80%

12

12

74

2

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

18

20

58

4

1

20

16

62

2

2

18

14

64

4

3

22

18

56

4

4

20

21

56

3

5

18

19

57

6

6 et plus

10

22

66

2

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

100

-

-

-

2 fois

41

47

10

2

1 fois

42

41

15

2

Jamais

-

15

81

4

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

16

22

60

2

Plutôt tendance à diminuer

22

19

56

3

Les écarts ne varient pas

16

15

65

4

REGION

Paris / région parisienne

20

16

61

3

Province

18

19

60

3

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise en 2003

Question : Et en 2003, ont-elles eu lieu ?

Ensemble

Entreprises de 50 à 99 salariés

Entreprises de 250 à 499 salariés

Entreprises de plus de 1000 salariés

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Oui

23

17

35

35

ï Non

73

79

59

58

- Ne se prononcent pas

4

4

6

7

TOTAL

100

100

100

100

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise en 2003

Oui

Non

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

23

73

4

TAILLE

50 à 99 salariés

17

79

4

100 à 199 salariés

27

71

2

200 à 249 salariés

32

66

2

250 à 499 salariés

35

59

6

500 à 999 salariés

38

58

4

1000 salariés et plus

35

58

7

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

28

70

2

BTP

17

81

2

Commerce

18

77

5

Hôtellerie / Restaurants

26

64

10

Transports et télécommunications

25

71

4

Activités Financières / Immobilier

28

70

2

Services aux entreprises

22

73

5

Education / Santé / Action sociale

20

76

4

Services aux particuliers

24

71

5

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

26

71

3

Femme

22

74

4

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

24

70

6

18 - 24 ans (*)

19

63

18

25 - 34 ans

24

71

5

35 ans et plus

23

74

3

35 - 49 ans

23

74

3

50 ans et plus

24

74

2

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

21

76

3

De 20 à 40%

27

71

2

De 40 à 50%

27

68

5

De 50 à 60%

18

74

8

De 60 à 80%

32

65

3

Plus de 80%

11

82

7

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

26

72

2

1

24

73

3

2

20

76

4

3

26

71

3

4

24

71

5

5

24

67

9

6 et plus

17

77

6

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

100

-

-

2 fois

96

4

-

1 fois

36

53

11

Jamais

-

96

4

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

25

73

2

Plutôt tendance à diminuer

27

69

4

Les écarts ne varient pas

19

77

4

REGION

Paris / région parisienne

23

74

3

Province

24

72

4

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise en 2002

Question : Et en 2002, ont-elles eu lieu ?

Ensemble

Entreprises de 50 à 99 salariés

Entreprises de 250 à 499 salariés

Entreprises de plus de 1000 salariés

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Oui

19

14

26

29

ï Non

74

79

65

64

- Ne se prononcent pas

7

7

9

7

TOTAL

100

100

100

100

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise en 2002

Oui

Non

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

19

74

7

TAILLE

50 à 99 salariés

14

79

7

100 à 199 salariés

23

71

6

200 à 249 salariés

28

68

4

250 à 499 salariés

26

65

9

500 à 999 salariés

35

57

8

1000 salariés et plus

29

64

7

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

25

71

4

BTP

17

79

4

Commerce

13

77

10

Hôtellerie / Restaurants

23

63

14

Transports et télécommunications

18

75

7

Activités Financières / Immobilier

24

71

5

Services aux entreprises

19

74

7

Education / Santé / Action sociale

13

75

12

Services aux particuliers

17

74

9

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

21

74

5

Femme

19

73

8

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

18

71

11

18 - 24 ans (*)

17

60

23

25 - 34 ans

18

71

11

35 ans et plus

20

75

5

35 - 49 ans

20

73

7

50 ans et plus

20

77

3

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

18

76

6

De 20 à 40%

25

71

4

De 40 à 50%

23

68

9

De 50 à 60%

16

72

12

De 60 à 80%

20

72

8

Plus de 80%

11

80

9

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

22

74

4

1

19

75

6

2

18

74

8

3

20

73

7

4

17

76

7

5

23

69

8

6 et plus

13

75

12

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

100

-

-

2 fois

64

27

9

1 fois

21

62

17

Jamais

-

93

7

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

23

74

3

Plutôt tendance à diminuer

22

71

7

Les écarts ne varient pas

16

77

7

REGION

Paris / région parisienne

19

74

7

Province

20

73

7

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise entre 2002 et 2004

- Récapitulatif : « Ont eu lieu » -

Ensemble

Entreprises de 50 à 99 salariés

Entreprises de 250 à 499 salariés

Entreprises de plus de 1000 salariés

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Tous les ans

12

8

19

22

ï 2 fois

9

7

13

8

ï 1 fois

7

6

6

13

ï Jamais

72

79

62

57

TOTAL

100

100

100

100

La tenue de négociations spécifiques dans l'entreprise

Tous les ans

2 fois

1 fois

Jamais

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

12

9

7

72

TAILLE

50 à 99 salariés

8

7

6

79

100 à 199 salariés

14

11

7

68

200 à 249 salariés

18

11

7

64

250 à 499 salariés

19

13

6

62

500 à 999 salariés

21

15

9

55

1000 salariés et plus

22

8

13

57

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

17

9

7

67

BTP

7

9

7

77

Commerce

7

9

8

76

Hôtellerie / Restaurants

15

9

4

72

Transports et télécommunications

14

8

9

69

Activités Financières / Immobilier

11

15

8

66

Services aux entreprises

12

8

8

72

Education / Santé / Action sociale

8

8

9

75

Services aux particuliers

10

12

3

75

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

12

11

8

69

Femme

12

8

6

74

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

11

10

7

72

18 - 24 ans (*)

13

6

6

75

25 - 34 ans

11

10

7

72

35 ans et plus

12

9

7

72

35 - 49 ans

12

9

7

72

50 ans et plus

13

9

6

72

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

11

8

6

75

De 20 à 40%

17

9

5

69

De 40 à 50%

12

15

6

67

De 50 à 60%

9

7

7

77

De 60 à 80%

13

13

10

64

Plus de 80%

6

4

8

82

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

12

12

6

70

1

13

9

6

72

2

10

9

7

74

3

16

7

7

70

4

11

9

9

71

5

14

8

7

71

6 et plus

4

10

9

77

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

100

-

-

-

2 fois

-

100

-

-

1 fois

-

-

100

-

Jamais

-

-

-

100

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

12

9

10

69

Plutôt tendance à diminuer

14

11

8

67

Les écarts ne varient pas

10

7

5

78

REGION

Paris / région parisienne

12

10

5

73

Province

12

9

8

71

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La tenue de négociations spécifiques dans la branche

Question : Et au niveau de la branche à laquelle appartient votre entreprise, ces négociations spécifiques ont-elles effectivement eu lieu au cours de ces trois dernières années ?

Ensemble

Hôtellerie / Restau-ration

Education / Santé / Sociale

Services aux particu-liers

Transports et télécommu-nications

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Oui, elles ont déjà eu lieu

34

43

39

27

25

ï Non, mais elles vont avoir lieu
prochainement

9

10

5

9

9

ï Non, et elles n'auront pas lieu
prochainement

26

21

31

29

34

- Ne se prononcent pas

31

26

25

35

32

TOTAL

100

100

100

100

100

La tenue de négociations spécifiques dans la branche

Oui, elles ont déjà eu lieu

Non, mais elles vont avoir lieu prochainement

Non, et elles

n'auront pas lieu prochainement

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

34

9

26

31

TAILLE

50 à 99 salariés

30

10

29

31

100 à 199 salariés

34

9

26

31

200 à 249 salariés

46

8

19

27

250 à 499 salariés

35

8

26

31

500 à 999 salariés

43

8

19

30

1000 salariés et plus

44

11

19

26

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

37

10

24

29

BTP

35

7

33

25

Commerce

36

10

26

28

Hôtellerie / Restaurants

43

10

21

26

Transports et télécommunications

25

9

34

32

Activités Financières / Immobilier

36

12

18

34

Services aux entreprises

29

9

24

38

Education / Santé / Action sociale

39

5

31

25

Services aux particuliers

27

9

29

35

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

35

9

27

29

Femme

32

10

26

32

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

34

11

24

31

18 - 24 ans (*)

31

13

26

30

25 - 34 ans

34

11

24

31

35 ans et plus

33

9

27

31

35 - 49 ans

33

8

27

32

50 ans et plus

34

9

28

29

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

33

8

30

29

De 20 à 40%

35

10

23

32

De 40 à 50%

30

12

25

33

De 50 à 60%

38

9

18

35

De 60 à 80%

32

11

27

30

Plus de 80%

33

8

30

29

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

36

7

24

33

1

34

7

26

33

2

32

9

31

28

3

29

9

32

30

4

40

11

24

25

5

38

12

15

35

6 et plus

28

22

21

29

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

66

5

6

23

2 fois

51

9

12

28

1 fois

59

12

15

14

Jamais

23

10

33

34

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

31

16

28

25

Plutôt tendance à diminuer

38

9

26

27

Les écarts ne varient pas

30

7

26

37

REGION

Paris / région parisienne

30

10

28

32

Province

35

9

26

30

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

L'inclusion de la thématique de l'égalité homme/femme dans les négociations obligatoires dans l'entreprise

Question : La loi prévoit également d'introduire le thème de l'égalité professionnelle hommes-femmes dans les négociations obligatoires déjà existantes au sein de l'entreprise et au niveau de la branche prévues par le code du travail. Dans votre entreprise, lors des négociations obligatoires déjà existantes, le thème de l'égalité professionnelle hommes-femmes, notamment en ce qui concerne les salaires, est-il abordé ?

Ensemble

Tenues des négociations spécifiques
entre 2002 et 2004

Tous les ans

2 fois

1 fois

Jamais

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Oui

46

79

83

65

34

ï Non

52

20

17

33

64

- Ne se prononcent pas

2

1

-

2

2

TOTAL

100

100

100

100

100

L'inclusion de la thématique de l'égalité homme/femme
dans les négociations obligatoires dans l'entreprise

Oui

Non

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

46

52

2

TAILLE

50 à 99 salariés

36

62

2

100 à 199 salariés

50

49

1

200 à 249 salariés

59

40

1

250 à 499 salariés

66

32

2

500 à 999 salariés

64

35

1

1000 salariés et plus

73

24

3

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

54

45

1

BTP

33

66

1

Commerce

45

54

1

Hôtellerie / Restaurants

41

56

3

Transports et télécommunications

42

56

2

Activités Financières / Immobilier

57

41

2

Services aux entreprises

45

54

1

Education / Santé / Action sociale

34

59

7

Services aux particuliers

42

57

1

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

47

52

1

Femme

46

52

2

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

47

50

3

18 - 24 ans (*)

46

54

-

25 - 34 ans

48

49

3

35 ans et plus

46

53

1

35 - 49 ans

45

54

1

50 ans et plus

47

52

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

42

56

2

De 20 à 40%

52

47

1

De 40 à 50%

48

51

1

De 50 à 60%

51

48

1

De 60 à 80%

50

49

1

Plus de 80%

33

66

1

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

47

51

2

1

47

52

1

2

44

54

2

3

49

50

1

4

53

47

-

5

42

57

1

6 et plus

37

60

3

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

79

20

1

2 fois

83

17

-

1 fois

65

33

2

Jamais

34

64

2

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

39

60

1

Plutôt tendance à diminuer

52

47

1

Les écarts ne varient pas

41

56

3

REGION

Paris / région parisienne

48

51

1

Province

45

53

2

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

L'inclusion de la thématique de l'égalité homme/femme dans les négociations obligatoires dans la branche

Question : Et au niveau de la branche à laquelle appartient votre entreprise, lors des négociations obligatoires déjà existantes, le thème de l'égalité professionnelle hommes-femmes est-il abordé ?

Ensemble

(%)

ï Oui

51

ï Non

29

- Ne se prononcent pas

20

TOTAL

100

L'inclusion de la thématique de l'égalité homme/femme
dans les négociations obligatoires dans la branche

Oui

Non

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

51

29

20

TAILLE

50 à 99 salariés

47

32

21

100 à 199 salariés

51

29

20

200 à 249 salariés

58

21

21

250 à 499 salariés

58

25

17

500 à 999 salariés

60

22

18

1000 salariés et plus

60

20

20

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

55

26

19

BTP

47

37

16

Commerce

53

26

21

Hôtellerie / Restaurants

52

28

20

Transports et télécommunications

42

37

21

Activités Financières / Immobilier

55

22

23

Services aux entreprises

51

28

21

Education / Santé / Action sociale

55

32

13

Services aux particuliers

44

35

21

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

51

28

21

Femme

51

30

19

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

52

32

16

18 - 24 ans (*)

62

30

8

25 - 34 ans

51

33

16

35 ans et plus

51

28

21

35 - 49 ans

51

28

21

50 ans et plus

50

28

22

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

50

32

18

De 20 à 40%

53

26

21

De 40 à 50%

44

28

28

De 50 à 60%

59

26

15

De 60 à 80%

53

27

20

Plus de 80%

51

31

18

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

50

31

19

1

50

29

21

2

50

30

20

3

49

29

22

4

60

24

16

5

56

26

18

6 et plus

56

28

16

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

69

15

16

2 fois

61

18

21

1 fois

66

21

13

Jamais

45

34

21

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

45

36

19

Plutôt tendance à diminuer

55

27

18

Les écarts ne varient pas

48

29

23

REGION

Paris / région parisienne

48

27

25

Province

52

30

18

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

Le jugement sur l'efficacité de certaines négociations

Question : Au final, pour chacune des négociations suivantes, diriez-vous ou non qu'elle a permis des avancées significatives en matière d'égalité professionnelle hommes-femmes dans votre entreprise ?

BASE : Entreprises concernées par les négociations

A permis des avancées significatives

N'a pas permis d'avancées significatives

Il est trop tôt pour juger de l'efficacité de cette négociation

Nsp

TOTAL

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Les négociations déjà existantes au niveau de la branche au cours desquelles le thème de l'égalité professionnelle hommes-femmes a été introduit (51% de l'échantillon)

48

43

2

7

100

ï Les négociations déjà existantes au niveau de l'entreprise au cours desquelles le thème de l'égalité professionnelle hommes-femmes a été introduit (46% de l'échantillon)

45

49

2

4

100

ï La négociation spécifique triennale (34% de l'échantillon)

43

48

2

7

100

ï La négociation spécifique annuelle (28% de l'échantillon)

41

55

2

2

100

Le jugement sur l'efficacité de certaines négociations :
Les négociations au cours desquelles le thème
de l'égalité professionnelle hommes-femmes a été introduit

A permis des avancées

significatives

N'a pas permis

d'avancées

significatives

Il est trop tôt pour juger de l'efficacité de cette négociation

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

48

43

2

7

TAILLE

50 à 99 salariés

52

41

1

6

100 à 199 salariés

47

43

3

7

200 à 249 salariés

46

41

2

11

250 à 499 salariés

44

42

3

11

500 à 999 salariés

39

50

6

5

1000 salariés et plus

33

52

1

14

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

43

49

2

6

BTP

54

39

2

5

Commerce

54

38

1

7

Hôtellerie / Restaurants

69

24

2

5

Transports et télécommunications

45

44

3

8

Activités Financières / Immobilier

43

46

2

9

Services aux entreprises

44

46

3

7

Education / Santé / Action sociale

64

24

3

9

Services aux particuliers

47

40

2

11

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

50

41

1

8

Femme

47

44

2

7

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

48

43

2

7

18 - 24 ans (*)

31

66

-

3

25 - 34 ans

49

42

2

7

35 ans et plus

48

43

2

7

35 - 49 ans

47

44

2

7

50 ans et plus

52

39

2

7

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

48

43

2

7

De 20 à 40%

44

48

2

6

De 40 à 50%

44

48

2

6

De 50 à 60%

44

47

1

8

De 60 à 80%

58

31

3

8

Plus de 80%

59

32

-

9

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

40

50

2

8

1

49

42

3

6

2

50

41

1

8

3

47

47

1

5

4

57

35

1

7

5

50

45

3

2

6 et plus

55

32

1

12

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

46

43

4

7

2 fois

56

36

-

8

1 fois

63

29

1

7

Jamais

45

46

2

7

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

34

61

2

3

Plutôt tendance à diminuer

55

37

2

6

Les écarts ne varient pas

42

47

2

9

REGION

Paris / région parisienne

48

43

2

7

Province

48

43

2

7

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

Le jugement sur l'efficacité de certaines négociations :
Les négociations au cours desquelles le thème
de l'égalité professionnelle hommes-femmes a été introduit

A permis des avancées

significatives

N'a pas permis

d'avancées

significatives

Il est trop tôt pour juger de l'efficacité de cette négociation

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

45

49

2

4

TAILLE

50 à 99 salariés

50

45

1

4

100 à 199 salariés

39

51

4

6

200 à 249 salariés

46

49

-

5

250 à 499 salariés

39

57

1

3

500 à 999 salariés

46

51

3

-

1000 salariés et plus

44

48

3

5

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

38

57

1

4

BTP

51

43

1

5

Commerce

44

49

3

4

Hôtellerie / Restaurants

62

29

4

5

Transports et télécommunications

44

53

-

3

Activités Financières / Immobilier

46

48

3

3

Services aux entreprises

50

46

1

3

Education / Santé / Action sociale

56

38

3

3

Services aux particuliers

52

34

4

10

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

47

49

1

3

Femme

43

48

3

6

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

45

48

2

5

18 - 24 ans (*)

62

32

6

-

25 - 34 ans

45

49

1

5

35 ans et plus

45

49

2

4

35 - 49 ans

45

49

1

5

50 ans et plus

44

50

4

2

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

42

53

1

4

De 20 à 40%

40

52

3

5

De 40 à 50%

41

49

-

10

De 50 à 60%

50

43

3

4

De 60 à 80%

52

43

4

1

Plus de 80%

59

38

-

3

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

35

61

2

2

1

41

51

2

6

2

46

46

2

6

3

52

45

-

3

4

60

36

2

2

5

51

39

4

6

6 et plus

55

37

-

8

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

49

49

1

1

2 fois

46

48

2

4

1 fois

63

29

2

6

Jamais

40

53

2

5

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

30

60

4

6

Plutôt tendance à diminuer

56

41

1

2

Les écarts ne varient pas

32

59

2

7

REGION

Paris / région parisienne

46

46

3

5

Province

45

50

1

4

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

Le jugement sur l'efficacité de certaines négociations :
La négociation spécifique triennale ...

A permis des avancées

significatives

N'a pas permis

d'avancées

significatives

Il est trop tôt pour juger de l'efficacité de cette négociation

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

43

48

2

7

TAILLE

50 à 99 salariés

46

47

1

6

100 à 199 salariés

43

49

1

7

200 à 249 salariés

44

47

2

7

250 à 499 salariés

41

49

2

8

500 à 999 salariés

35

59

3

3

1000 salariés et plus

30

51

5

14

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

38

54

2

6

BTP

43

50

-

7

Commerce

45

47

2

6

Hôtellerie / Restaurants

53

37

5

5

Transports et télécommunications

50

39

2

9

Activités Financières / Immobilier

39

58

1

2

Services aux entreprises

44

49

-

7

Education / Santé / Action sociale

41

52

-

7

Services aux particuliers

48

37

2

13

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

45

47

1

7

Femme

41

50

2

7

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

45

45

2

8

18 - 24 ans (*)

27

56

8

9

25 - 34 ans

45

45

2

8

35 ans et plus

43

50

1

6

35 - 49 ans

40

53

1

6

50 ans et plus

47

43

3

7

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

39

55

1

5

De 20 à 40%

46

47

3

4

De 40 à 50%

40

53

1

6

De 50 à 60%

42

47

3

8

De 60 à 80%

51

41

1

7

Plus de 80%

47

31

-

22

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

35

57

2

6

1

41

51

1

7

2

43

47

2

8

3

43

51

3

3

4

60

33

1

6

5

63

35

-

2

6 et plus

42

38

-

20

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

49

46

1

4

2 fois

45

44

2

9

1 fois

50

41

-

9

Jamais

38

53

2

7

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

33

63

1

3

Plutôt tendance à diminuer

49

43

1

7

Les écarts ne varient pas

37

53

3

7

REGION

Paris / région parisienne

44

44

3

9

Province

43

50

1

6

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

Le jugement sur l'efficacité de certaines négociations :
La négociation spécifique annuelle ...

A permis des avancées

significatives

N'a pas permis

d'avancées

significatives

Il est trop tôt pour juger de l'efficacité de cette négociation

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

41

55

2

2

TAILLE

50 à 99 salariés

44

53

1

2

100 à 199 salariés

36

58

4

2

200 à 249 salariés

53

45

2

-

250 à 499 salariés

34

59

2

5

500 à 999 salariés

37

61

2

-

1000 salariés et plus

55

35

6

4

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

32

64

2

2

BTP

43

51

2

4

Commerce

47

49

2

2

Hôtellerie / Restaurants

51

46

-

3

Transports et télécommunications

41

55

3

1

Activités Financières / Immobilier

32

66

-

2

Services aux entreprises

50

45

3

2

Education / Santé / Action sociale

43

55

-

2

Services aux particuliers

50

43

4

3

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

41

56

2

1

Femme

42

52

3

3

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

44

52

2

2

18 - 24 ans (*)

79

21

-

-

25 - 34 ans

43

53

2

2

35 ans et plus

40

55

3

2

35 - 49 ans

39

56

2

3

50 ans et plus

43

54

3

-

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

39

57

3

1

De 20 à 40%

35

60

3

2

De 40 à 50%

43

52

1

4

De 50 à 60%

51

49

-

-

De 60 à 80%

49

47

3

1

Plus de 80%

37

53

-

10

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

32

67

1

-

1

39

56

3

2

2

42

51

4

3

3

45

52

3

-

4

52

45

-

3

5

69

26

-

5

6 et plus

49

45

-

6

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

39

59

1

1

2 fois

38

57

4

1

1 fois

50

42

2

6

Jamais

-

-

-

-

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

38

60

1

1

Plutôt tendance à diminuer

49

47

2

2

Les écarts ne varient pas

29

64

4

3

REGION

Paris / région parisienne

40

52

5

3

Province

42

55

1

2

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

D - Les pratiques et les jugements concernant le rapport de situation

La rédaction dans l'entreprise en 2004 d'un rapport sur la situation comparée des hommes et des femmes

Question : La loi du 9 mai 2001 prévoit également l'écriture annuelle d'un rapport sur la situation comparée des conditions générales d'emploi et de formation des femmes et des hommes dans l'entreprise. Dans votre entreprise, ce rapport a-t-il été écrit cette année ?

Ensemble

Tenues des négociations spécifiques
entre 2002 et 2004

Tous les ans

2 fois

1 fois

Jamais

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Oui

32

58

48

39

26

ï Non

65

41

49

57

71

- Ne se prononcent pas

3

1

3

4

3

TOTAL

100

100

100

100

100

La rédaction dans l'entreprise en 2004 d'un rapport
sur la situation comparée des hommes et des femmes

Oui

Non

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

32

65

3

TAILLE

50 à 99 salariés

23

74

3

100 à 199 salariés

36

62

2

200 à 249 salariés

45

54

1

250 à 499 salariés

50

46

4

500 à 999 salariés

55

43

2

1000 salariés et plus

59

35

6

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

39

58

3

BTP

23

76

1

Commerce

32

64

4

Hôtellerie / Restaurants

30

65

5

Transports et télécommunications

28

70

2

Activités Financières / Immobilier

48

51

1

Services aux entreprises

29

69

2

Education / Santé / Action sociale

23

73

4

Services aux particuliers

29

70

1

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

31

67

2

Femme

34

63

3

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

31

66

3

18 - 24 ans (*)

17

76

7

25 - 34 ans

32

66

2

35 ans et plus

33

64

3

35 - 49 ans

32

65

3

50 ans et plus

36

63

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

27

70

3

De 20 à 40%

41

58

1

De 40 à 50%

33

64

3

De 50 à 60%

39

58

3

De 60 à 80%

31

66

3

Plus de 80%

27

69

4

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

38

61

1

1

30

68

2

2

30

66

4

3

36

62

2

4

27

71

2

5

35

62

3

6 et plus

29

65

6

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

58

41

1

2 fois

48

49

3

1 fois

39

57

4

Jamais

26

71

3

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

31

66

3

Plutôt tendance à diminuer

34

64

2

Les écarts ne varient pas

31

66

3

REGION

Paris / région parisienne

33

64

3

Province

33

65

2

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La rédaction dans l'entreprise en 2003 d'un rapport sur la situation comparée des hommes et des femmes

Question : Et en 2003 a-t-il été écrit ?

Ensemble

Tenues des négociations spécifiques
entre 2002 et 2004

Tous les ans

2 fois

1 fois

Jamais

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Oui

35

65

57

43

26

ï Non

61

33

40

50

69

- Ne se prononcent pas

4

3

3

7

5

TOTAL

100

100

100

100

100

La rédaction dans l'entreprise en 2003 d'un rapport
sur la situation comparée des hommes et des femmes

Oui

Non

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

35

61

4

TAILLE

50 à 99 salariés

26

70

4

100 à 199 salariés

37

59

4

200 à 249 salariés

48

49

3

250 à 499 salariés

51

45

4

500 à 999 salariés

54

39

7

1000 salariés et plus

66

28

6

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

41

54

5

BTP

24

73

3

Commerce

33

63

4

Hôtellerie / Restaurants

29

63

8

Transports et télécommunications

29

68

3

Activités Financières / Immobilier

46

51

3

Services aux entreprises

32

64

4

Education / Santé / Action sociale

33

64

3

Services aux particuliers

35

62

3

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

35

62

3

Femme

35

60

5

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

32

63

5

18 - 24 ans (*)

15

78

7

25 - 34 ans

33

62

5

35 ans et plus

36

60

4

35 - 49 ans

35

60

5

50 ans et plus

38

61

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

29

67

4

De 20 à 40%

44

53

3

De 40 à 50%

38

57

5

De 50 à 60%

38

58

4

De 60 à 80%

35

61

4

Plus de 80%

27

68

5

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

39

58

3

1

32

64

4

2

32

62

6

3

41

56

3

4

34

62

4

5

35

61

4

6 et plus

30

66

4

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

65

33

2

2 fois

57

40

3

1 fois

43

50

7

Jamais

26

69

5

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

29

64

7

Plutôt tendance à diminuer

37

59

4

Les écarts ne varient pas

34

62

4

REGION

Paris / région parisienne

37

59

4

Province

34

62

4

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La rédaction dans l'entreprise en 2002 d'un rapport sur la situation comparée des hommes et des femmes

Question : Et en 2002 a-t-il été écrit ?

Ensemble

Tenues des négociations spécifiques
entre 2002 et 2004

Tous les ans

2 fois

1 fois

Jamais

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Oui

30

60

48

26

23

ï Non

63

36

47

62

70

- Ne se prononcent pas

7

4

5

12

7

TOTAL

100

100

100

100

100

La rédaction dans l'entreprise en 2002 d'un rapport
sur la situation comparée des hommes et des femmes

Oui

Non

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

30

63

7

TAILLE

50 à 99 salariés

22

72

6

100 à 199 salariés

32

61

7

200 à 249 salariés

41

50

9

250 à 499 salariés

44

49

7

500 à 999 salariés

49

42

9

1000 salariés et plus

57

37

6

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

35

57

8

BTP

19

74

7

Commerce

29

64

7

Hôtellerie / Restaurants

28

60

12

Transports et télécommunications

25

69

6

Activités Financières / Immobilier

39

56

5

Services aux entreprises

28

66

6

Education / Santé / Action sociale

26

71

3

Services aux particuliers

32

64

4

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

29

66

5

Femme

31

61

8

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

27

63

10

18 - 24 ans (*)

7

79

14

25 - 34 ans

28

62

10

35 ans et plus

31

64

5

35 - 49 ans

30

63

7

50 ans et plus

34

64

2

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

26

67

7

De 20 à 40%

39

56

5

De 40 à 50%

32

60

8

De 50 à 60%

35

60

5

De 60 à 80%

25

68

7

Plus de 80%

27

67

6

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

36

59

5

1

28

66

6

2

28

63

9

3

34

60

6

4

22

71

7

5

34

61

5

6 et plus

26

68

6

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

60

36

4

2 fois

48

47

5

1 fois

26

62

12

Jamais

23

70

7

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

26

66

8

Plutôt tendance à diminuer

32

62

6

Les écarts ne varient pas

30

64

6

REGION

Paris / région parisienne

33

61

6

Province

29

64

7

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La rédaction dans l'entreprise d'un rapport sur la situation comparée des hommes et des femmes

- Récapitulatif : « A été écrit entre 2002 et 2004 » -

Ensemble

Tenues des négociations spécifiques
entre 2002 et 2004

Tous les ans

2 fois

1 fois

Jamais

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Tous les ans

25

53

36

20

19

ï 2 fois

9

10

18

15

7

ï 1 fois

6

5

11

18

4

ï Jamais

60

32

35

47

70

TOTAL

100

100

100

100

100

La rédaction dans l'entreprise d'un rapport
sur la situation comparée des hommes et des femmes

Tous les ans

2 fois

1 fois

Jamais

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

25

9

6

60

TAILLE

50 à 99 salariés

17

7

5

71

100 à 199 salariés

27

9

7

57

200 à 249 salariés

35

12

5

48

250 à 499 salariés

38

12

7

43

500 à 999 salariés

44

10

8

38

1000 salariés et plus

51

13

4

32

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

30

10

5

55

BTP

15

9

4

72

Commerce

24

7

8

61

Hôtellerie / Restaurants

24

4

5

67

Transports et télécommunications

22

4

9

65

Activités Financières / Immobilier

35

9

9

47

Services aux entreprises

22

8

6

64

Education / Santé / Action sociale

19

9

6

66

Services aux particuliers

22

14

3

61

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

22

11

6

61

Femme

27

7

6

60

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

23

7

7

63

18 - 24 ans (*)

7

5

9

79

25 - 34 ans

24

7

7

62

35 ans et plus

26

9

5

60

35 - 49 ans

24

10

5

61

50 ans et plus

28

9

7

56

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

20

8

5

67

De 20 à 40%

35

8

4

53

De 40 à 50%

25

12

5

58

De 50 à 60%

32

5

5

58

De 60 à 80%

20

10

12

58

Plus de 80%

18

11

5

66

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

30

9

5

56

1

23

8

5

64

2

24

7

6

63

3

27

12

5

56

4

15

12

12

61

5

29

4

9

58

6 et plus

19

12

5

64

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

53

10

5

32

2 fois

36

18

11

35

1 fois

20

15

18

47

Jamais

19

7

4

70

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

23

6

5

66

Plutôt tendance à diminuer

26

9

6

59

Les écarts ne varient pas

24

9

5

62

REGION

Paris / région parisienne

26

10

5

59

Province

24

8

6

62

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La présentation du rapport au comité d'entreprise

Question : Ce rapport a-t-il été soumis à la consultation du comité d'entreprise ?

BASE : Entreprises ayant rédigé au moins une année le rapport soit 40% de l'échantillon

Ensemble

Taille de l'entreprise

De 50 à 99 salariés

De 250 à 499 salariés

Plus de 1000 salariés

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Oui

87

77

97

98

ï Non

12

22

3

2

- Ne se prononcent pas

1

1

-

-

TOTAL

100

100

100

100

La présentation du rapport au comité d'entreprise

Oui

Non

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

87

12

1

TAILLE

50 à 99 salariés

77

22

1

100 à 199 salariés

92

7

1

200 à 249 salariés

97

3

-

250 à 499 salariés

97

3

-

500 à 999 salariés

93

5

2

1000 salariés et plus

98

2

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

92

7

1

BTP

92

8

-

Commerce

86

13

1

Hôtellerie / Restaurants

62

34

4

Transports et télécommunications

86

14

-

Activités Financières / Immobilier

87

13

-

Services aux entreprises

87

13

-

Education / Santé / Action sociale

94

6

-

Services aux particuliers

82

18

-

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

87

12

1

Femme

89

11

-

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

87

13

-

18 - 24 ans (*)

86

14

-

25 - 34 ans

87

13

-

35 ans et plus

88

11

1

35 - 49 ans

89

11

-

50 ans et plus

85

13

2

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

86

13

1

De 20 à 40%

97

3

-

De 40 à 50%

87

12

1

De 50 à 60%

81

19

-

De 60 à 80%

78

21

1

Plus de 80%

95

5

-

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

95

5

-

1

88

12

-

2

88

9

3

3

81

19

-

4

80

20

-

5

73

26

1

6 et plus

89

11

-

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

93

7

-

2 fois

91

9

-

1 fois

82

18

-

Jamais

86

13

1

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

87

13

-

Plutôt tendance à diminuer

88

12

-

Les écarts ne varient pas

88

11

1

REGION

Paris / région parisienne

92

8

-

Province

86

13

1

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La transmission du rapport à l'inspection du travail

Question : Et ce rapport, l'avez-vous transmis à l'inspecteur du travail ?

BASE : Entreprises ayant rédigé au moins une année le rapport soit 40% de l'échantillon

Ensemble

Taille de l'entreprise

De 50 à 99 salariés

De 250 à 499 salariés

Plus de 1000 salariés

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Oui

60

57

60

72

ï Non

36

39

37

12

- Ne se prononcent pas

4

4

3

16

TOTAL

100

100

100

100

La transmission du rapport à l'inspection du travail

Oui

Non

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

60

36

4

TAILLE

50 à 99 salariés

57

39

4

100 à 199 salariés

57

40

3

200 à 249 salariés

67

30

3

250 à 499 salariés

60

37

3

500 à 999 salariés

70

23

7

1000 salariés et plus

72

12

16

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

61

33

6

BTP

70

27

3

Commerce

62

34

4

Hôtellerie / Restaurants

70

24

6

Transports et télécommunications

64

33

3

Activités Financières / Immobilier

50

48

2

Services aux entreprises

55

39

6

Education / Santé / Action sociale

42

52

6

Services aux particuliers

58

40

2

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

62

35

3

Femme

59

36

5

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

63

32

5

18 - 24 ans (*)

51

36

13

25 - 34 ans

63

32

5

35 ans et plus

59

37

4

35 - 49 ans

58

37

5

50 ans et plus

61

37

2

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

61

36

3

De 20 à 40%

61

35

4

De 40 à 50%

56

39

5

De 50 à 60%

61

32

7

De 60 à 80%

58

36

6

Plus de 80%

60

36

4

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

58

35

7

1

57

40

3

2

59

39

2

3

67

29

4

4

66

31

3

5

59

31

10

6 et plus

65

31

4

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

67

29

4

2 fois

63

30

7

1 fois

65

29

6

Jamais

55

41

4

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

66

29

5

Plutôt tendance à diminuer

59

37

4

Les écarts ne varient pas

60

36

4

REGION

Paris / région parisienne

61

33

6

Province

59

37

4

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La pertinence accordée à certains indicateurs

Question : Je vais vous citer un certain nombre d'indicateurs devant figurer dans ce rapport annuel afin de permettre l'analyse de la situation comparée des femmes et des hommes dans l'entreprise et de son évolution. A chaque fois, il s'agit de données chiffrées par sexe. Pour chacun de ces indicateurs, vous me direz si vous le jugez pertinent ou non pour évaluer les égalités ou inégalités entre les femmes et les hommes ?

Plutôt pertinent

Plutôt pas pertinent

Nsp

TOTAL

(%)

(%)

(%)

(%)

ï Les données relatives à la rémunération effective : niveau des rémunérations, hiérarchie des salaires

80

20

-

100

ï Les données en matière de qualification

74

26

-

100

ï Les données en matière de promotion

73

26

1

100

ï Les données en matière de formation
professionnelle : participation aux actions,
types de formation effectuée

69

30

1

100

ï Les données en matière de classification

68

31

1

100

ï Les données relatives aux conditions de travail : pénibilité, exposition à des risques professionnels, etc.

62

38

-

100

ï Les données relatives à la durée et à l'organisation du travail : temps de travail, travail de nuit, travail posté, etc.

56

43

1

100

ï Les données en matière d'embauches et de départs : nombre d'embauches et de départs, motifs des départs

46

53

1

100

La pertinence accordée à certains indicateurs :
Les données relatives à la rémunération effective :
niveau des rémunérations, hiérarchie des salaires

Plutôt pertinent

Plutôt pas pertinent

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

80

20

-

TAILLE

50 à 99 salariés

78

22

-

100 à 199 salariés

79

21

-

200 à 249 salariés

85

15

-

250 à 499 salariés

80

19

1

500 à 999 salariés

84

16

-

1000 salariés et plus

91

9

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

78

22

-

BTP

76

24

-

Commerce

78

22

-

Hôtellerie / Restaurants

78

22

-

Transports et télécommunications

79

20

1

Activités Financières / Immobilier

90

10

-

Services aux entreprises

80

20

-

Education / Santé / Action sociale

71

27

2

Services aux particuliers

87

13

-

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

77

22

1

Femme

81

19

-

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

85

15

-

18 - 24 ans (*)

75

25

-

25 - 34 ans

85

15

-

35 ans et plus

78

22

-

35 - 49 ans

78

22

-

50 ans et plus

78

21

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

77

23

-

De 20 à 40%

80

20

-

De 40 à 50%

85

15

-

De 50 à 60%

82

18

-

De 60 à 80%

80

20

-

Plus de 80%

83

16

1

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

80

20

-

1

78

21

1

2

82

18

-

3

80

20

-

4

80

20

-

5

73

26

1

6 et plus

78

22

-

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

82

18

-

2 fois

82

18

-

1 fois

78

22

-

Jamais

79

21

-

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

81

19

-

Plutôt tendance à diminuer

83

17

-

Les écarts ne varient pas

75

24

1

REGION

Paris / région parisienne

80

20

-

Province

80

20

-

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La pertinence accordée à certains indicateurs :
Les données en matière de qualification

Plutôt pertinent

Plutôt pas pertinent

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

74

26

-

TAILLE

50 à 99 salariés

72

28

-

100 à 199 salariés

71

28

1

200 à 249 salariés

79

20

1

250 à 499 salariés

74

25

1

500 à 999 salariés

78

22

-

1000 salariés et plus

82

18

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

75

25

-

BTP

77

23

-

Commerce

73

27

-

Hôtellerie / Restaurants

63

37

-

Transports et télécommunications

72

27

1

Activités Financières / Immobilier

77

22

1

Services aux entreprises

71

29

-

Education / Santé / Action sociale

63

34

3

Services aux particuliers

74

26

-

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

72

27

1

Femme

74

26

-

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

75

25

-

18 - 24 ans (*)

54

46

-

25 - 34 ans

76

24

-

35 ans et plus

72

27

1

35 - 49 ans

71

29

-

50 ans et plus

76

23

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

76

23

1

De 20 à 40%

74

26

-

De 40 à 50%

73

27

-

De 50 à 60%

68

32

-

De 60 à 80%

71

28

1

Plus de 80%

69

30

1

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

77

23

-

1

74

25

1

2

77

22

1

3

68

32

-

4

64

36

-

5

67

32

1

6 et plus

62

38

-

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

78

21

1

2 fois

76

24

-

1 fois

74

26

-

Jamais

72

28

-

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

76

24

-

Plutôt tendance à diminuer

76

24

-

Les écarts ne varient pas

69

30

1

REGION

Paris / région parisienne

74

26

-

Province

73

26

1

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La pertinence accordée à certains indicateurs :
Les données en matière de promotion

Plutôt pertinent

Plutôt pas pertinent

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

73

26

1

TAILLE

50 à 99 salariés

69

29

2

100 à 199 salariés

74

25

1

200 à 249 salariés

85

14

1

250 à 499 salariés

75

24

1

500 à 999 salariés

84

16

-

1000 salariés et plus

90

10

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

73

25

2

BTP

70

29

1

Commerce

75

24

1

Hôtellerie / Restaurants

74

26

-

Transports et télécommunications

72

25

3

Activités Financières / Immobilier

82

18

-

Services aux entreprises

74

25

1

Education / Santé / Action sociale

64

34

2

Services aux particuliers

70

30

-

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

73

26

1

Femme

73

26

1

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

75

24

1

18 - 24 ans (*)

80

20

-

25 - 34 ans

74

25

1

35 ans et plus

73

26

1

35 - 49 ans

74

25

1

50 ans et plus

71

28

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

70

29

1

De 20 à 40%

74

24

2

De 40 à 50%

77

23

-

De 50 à 60%

80

20

-

De 60 à 80%

75

24

1

Plus de 80%

68

30

2

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

74

25

1

1

74

24

2

2

77

23

-

3

77

22

1

4

69

30

1

5

63

34

3

6 et plus

62

36

2

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

79

21

-

2 fois

78

20

2

1 fois

80

20

-

Jamais

71

28

1

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

78

21

1

Plutôt tendance à diminuer

77

22

1

Les écarts ne varient pas

67

31

2

REGION

Paris / région parisienne

76

23

1

Province

72

27

1

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La pertinence accordée à certains indicateurs :
Les données en matière de formation professionnelle :
participation aux actions, types de formation effectuée

Plutôt pertinent

Plutôt pas pertinent

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

69

30

1

TAILLE

50 à 99 salariés

67

32

1

100 à 199 salariés

70

29

1

200 à 249 salariés

74

26

-

250 à 499 salariés

72

27

1

500 à 999 salariés

79

21

-

1000 salariés et plus

83

17

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

72

27

1

BTP

71

29

-

Commerce

66

34

-

Hôtellerie / Restaurants

73

27

-

Transports et télécommunications

68

31

1

Activités Financières / Immobilier

75

25

-

Services aux entreprises

68

31

1

Education / Santé / Action sociale

72

26

2

Services aux particuliers

70

29

1

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

69

30

1

Femme

70

29

1

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

66

34

-

18 - 24 ans (*)

74

26

-

25 - 34 ans

66

34

-

35 ans et plus

71

28

1

35 - 49 ans

70

30

-

50 ans et plus

74

25

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

70

29

1

De 20 à 40%

71

27

2

De 40 à 50%

68

32

-

De 50 à 60%

71

29

-

De 60 à 80%

67

33

-

Plus de 80%

71

28

1

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

72

28

-

1

69

30

1

2

70

29

1

3

69

31

-

4

64

36

-

5

71

27

2

6 et plus

70

28

2

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

72

27

1

2 fois

72

28

-

1 fois

81

18

1

Jamais

68

31

1

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

71

27

2

Plutôt tendance à diminuer

71

29

-

Les écarts ne varient pas

68

31

1

REGION

Paris / région parisienne

68

32

-

Province

71

28

1

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La pertinence accordée à certains indicateurs :
Les données en matière de classification

Plutôt pertinent

Plutôt pas pertinent

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

68

31

1

TAILLE

50 à 99 salariés

64

34

2

100 à 199 salariés

66

33

1

200 à 249 salariés

76

24

-

250 à 499 salariés

74

25

1

500 à 999 salariés

79

21

-

1000 salariés et plus

77

19

4

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

73

27

-

BTP

67

33

-

Commerce

66

32

2

Hôtellerie / Restaurants

57

43

-

Transports et télécommunications

65

33

2

Activités Financières / Immobilier

74

26

-

Services aux entreprises

65

34

1

Education / Santé / Action sociale

64

31

5

Services aux particuliers

64

33

3

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

66

33

1

Femme

69

30

1

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

66

33

1

18 - 24 ans (*)

56

44

-

25 - 34 ans

67

32

1

35 ans et plus

68

30

2

35 - 49 ans

66

32

2

50 ans et plus

71

27

2

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

65

34

1

De 20 à 40%

71

28

1

De 40 à 50%

69

28

3

De 50 à 60%

66

32

2

De 60 à 80%

68

31

1

Plus de 80%

67

30

3

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

71

28

1

1

69

30

1

2

66

31

3

3

64

36

-

4

66

34

-

5

63

33

4

6 et plus

66

34

-

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

75

23

2

2 fois

76

23

1

1 fois

72

27

1

Jamais

65

34

1

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

68

30

2

Plutôt tendance à diminuer

69

30

1

Les écarts ne varient pas

65

33

2

REGION

Paris / région parisienne

67

32

1

Province

68

30

2

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La pertinence accordée à certains indicateurs :
Les données relatives aux conditions de travail :
pénibilité, exposition à des risques professionnels, etc.

Plutôt pertinent

Plutôt pas pertinent

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

62

38

-

TAILLE

50 à 99 salariés

66

33

1

100 à 199 salariés

56

44

-

200 à 249 salariés

60

40

-

250 à 499 salariés

61

38

1

500 à 999 salariés

57

43

-

1000 salariés et plus

63

37

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

59

41

-

BTP

62

38

-

Commerce

59

40

1

Hôtellerie / Restaurants

60

40

-

Transports et télécommunications

68

31

1

Activités Financières / Immobilier

58

42

-

Services aux entreprises

62

38

-

Education / Santé / Action sociale

70

27

3

Services aux particuliers

71

29

-

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

63

36

1

Femme

61

39

-

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

58

42

-

18 - 24 ans (*)

55

45

-

25 - 34 ans

59

41

-

35 ans et plus

63

36

1

35 - 49 ans

65

35

-

50 ans et plus

62

37

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

61

38

1

De 20 à 40%

58

42

-

De 40 à 50%

65

35

-

De 50 à 60%

63

36

1

De 60 à 80%

62

38

-

Plus de 80%

69

30

1

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

57

43

-

1

64

35

1

2

62

38

-

3

60

40

-

4

70

30

-

5

55

42

3

6 et plus

69

31

-

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

60

40

-

2 fois

62

38

-

1 fois

71

29

-

Jamais

61

38

1

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

54

46

-

Plutôt tendance à diminuer

63

37

-

Les écarts ne varient pas

63

36

1

REGION

Paris / région parisienne

58

42

-

Province

64

35

1

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La pertinence accordée à certains indicateurs :
Les données relatives à la durée et à l'organisation du travail :
temps de travail, travail de nuit, travail posté, etc.

Plutôt pertinent

Plutôt pas pertinent

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

56

43

1

TAILLE

50 à 99 salariés

59

40

1

100 à 199 salariés

51

48

1

200 à 249 salariés

57

42

1

250 à 499 salariés

53

46

1

500 à 999 salariés

52

48

-

1000 salariés et plus

60

40

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

55

45

-

BTP

53

46

1

Commerce

53

47

-

Hôtellerie / Restaurants

62

38

-

Transports et télécommunications

63

35

2

Activités Financières / Immobilier

53

46

1

Services aux entreprises

62

38

-

Education / Santé / Action sociale

62

37

1

Services aux particuliers

55

45

-

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

57

42

1

Femme

55

44

1

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

55

45

-

18 - 24 ans (*)

52

48

-

25 - 34 ans

55

45

-

35 ans et plus

57

42

1

35 - 49 ans

57

43

-

50 ans et plus

57

42

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

55

44

1

De 20 à 40%

52

47

1

De 40 à 50%

59

41

-

De 50 à 60%

61

39

-

De 60 à 80%

55

45

-

Plus de 80%

64

36

-

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

54

45

1

1

55

44

1

2

56

44

-

3

58

41

1

4

59

41

-

5

52

47

1

6 et plus

66

34

-

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

55

44

1

2 fois

54

45

1

1 fois

65

34

1

Jamais

56

44

-

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

57

43

-

Plutôt tendance à diminuer

58

42

-

Les écarts ne varient pas

54

45

1

REGION

Paris / région parisienne

55

45

-

Province

57

42

1

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La pertinence accordée à certains indicateurs :
Les données en matière d'embauches et de départs :
nombre d'embauches et de départs, motifs des départs

Plutôt pertinent

Plutôt pas pertinent

Nsp

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

46

53

1

TAILLE

50 à 99 salariés

46

52

2

100 à 199 salariés

42

57

1

200 à 249 salariés

42

58

-

250 à 499 salariés

49

49

2

500 à 999 salariés

54

46

-

1000 salariés et plus

54

46

-

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

43

55

2

BTP

44

56

-

Commerce

43

56

1

Hôtellerie / Restaurants

49

51

-

Transports et télécommunications

45

51

4

Activités Financières / Immobilier

52

48

-

Services aux entreprises

42

58

-

Education / Santé / Action sociale

54

43

3

Services aux particuliers

57

42

1

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

42

56

2

Femme

48

51

1

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

47

53

-

18 - 24 ans (*)

52

48

-

25 - 34 ans

47

53

-

35 ans et plus

45

53

2

35 - 49 ans

43

55

2

50 ans et plus

48

50

2

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

46

52

2

De 20 à 40%

45

54

1

De 40 à 50%

45

53

2

De 50 à 60%

48

52

-

De 60 à 80%

42

57

1

Plus de 80%

49

46

5

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

45

54

1

1

45

53

2

2

45

54

1

3

46

54

-

4

46

51

3

5

51

45

4

6 et plus

44

52

4

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

50

49

1

2 fois

45

54

1

1 fois

51

47

2

Jamais

44

54

2

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

47

53

-

Plutôt tendance à diminuer

46

53

1

Les écarts ne varient pas

44

53

3

REGION

Paris / région parisienne

46

53

1

Province

45

53

2

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

La présentation de ces indicateurs aux salariés de l'entreprise

Question : Votre entreprise porte-t-elle ces indicateurs à la connaissance des salariés ?

Ensemble

Taille de l'entreprise

50 à 99 salariés

100 à 249 salariés

1000 salariés et plus

(%)

(%)

(%)

(%)

TOTAL oui

48

40

52

62

ï Oui, par voie d'affichage

21

20

26

14

ï Oui, par un autre moyen

27

20

26

48

NON

52

60

48

37

- Ne se prononcent pas

-

-

-

1

TOTAL

100

100

100

100

La présentation de ces indicateurs aux salariés de l'entreprise

TOTAL oui

Oui, par voie

d'affichage

Oui, par un

autre moyen

Non

Nsp

(%)

(%)

(%)

(%)

(%)

ENSEMBLE

48

21

27

52

-

TAILLE

50 à 99 salariés

40

20

20

60

-

100 à 199 salariés

52

21

31

47

1

200 à 249 salariés

52

26

26

48

-

250 à 499 salariés

64

24

40

36

-

500 à 999 salariés

65

20

45

35

-

1000 salariés et plus

62

14

48

37

1

SECTEUR D'ACTIVITE

Industrie

51

22

29

48

1

BTP

39

18

21

61

-

Commerce

50

22

28

50

-

Hôtellerie / Restaurants

53

38

15

47

-

Transports et télécommunications

44

20

24

56

-

Activités Financières / Immobilier

56

10

46

44

-

Services aux entreprises

46

18

28

54

-

Education / Santé / Action sociale

44

15

29

56

-

Services aux particuliers

43

20

23

57

-

SEXE DE L'INTERVIEWE

Homme

50

20

30

50

-

Femme

46

21

25

53

1

AGE DE L'INTERVIEWE

Moins de 35 ans

44

22

22

56

-

18 - 24 ans (*)

59

35

24

41

-

25 - 34 ans

43

21

22

57

-

35 ans et plus

49

20

29

50

1

35 - 49 ans

48

20

28

52

-

50 ans et plus

51

19

32

48

1

PROPORTION DE FEMMES DANS L'EFFECTIF SALARIE

Moins de 20%

44

18

26

55

1

De 20 à 40%

52

24

28

47

1

De 40 à 50%

47

16

31

53

-

De 50 à 60%

50

19

31

50

-

De 60 à 80%

54

27

27

46

-

Plus de 80%

38

22

16

62

-

NOMBRE DE FEMMES DANS LES DIX REMUNERATIONS LES PLUS ELEVEES

Aucune

47

17

30

53

-

1

44

20

24

55

1

2

47

17

30

53

-

3

56

24

32

44

-

4

42

24

18

58

-

5

49

25

24

50

1

6 et plus

56

35

21

44

-

TENUE DE NEGOCIATIONS SPECIFIQUES ENTRE 2002 ET 2004

Tous les ans

68

29

39

31

1

2 fois

67

26

41

33

-

1 fois

66

29

37

32

2

Jamais

40

18

22

60

-

PERCEPTION DES ECARTS SALARIAUX HOMMES/FEMMES

Plutôt tendance à augmenter

42

19

23

58

-

Plutôt tendance à diminuer

51

21

30

49

-

Les écarts ne varient pas

46

21

25

53

1

REGION

Paris / région parisienne

48

17

31

52

-

Province

47

22

25

53

-

(*) Effectifs inférieurs à 50 individus : ces résultats sont à interpréter avec prudence en raison de la faiblesse des effectifs

EXAMEN EN DÉLÉGATION

Au cours d'une réunion tenue le mardi 30 novembre 2004, sous la présidence de Mme Gisèle Gautier, présidente, Mme Laurence Parisot, présidente de l'IFOP , a présenté les résultats du sondage téléphonique commandé par la délégation sur la situation professionnelle des femmes au titre du bilan de la loi n° 2001-397 du 9 mai 2001 relative à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, dite « loi Génisson ».

Mme Gisèle Gautier, présidente, ouvrant la discussion avec les intervenants, a constaté la permanence d'une importante hétérogénéité en fonction des secteurs d'activité.

Mme Muguette Dini s'est demandé si des entreprises publiques faisaient partie de l'échantillon de l'enquête.

M. Jérôme Fourquet, directeur d'études au département opinion publique de l'IFOP , après avoir précisé que le sondage avait visé les entreprises soumises au code du travail, et donc certaines entreprises publiques, et que les données ne permettaient pas d'isoler leurs spécificités en matière d'égalité professionnelle entre les sexes, a estimé que les entreprises publiques devaient présenter des caractéristiques sensiblement identiques ou légèrement plus favorables à la situation des femmes.

Mme Gisèle Gautier, présidente, évoquant la permanence d'un « plafond de verre », a néanmoins estimé que l'on pouvait discerner une lueur d'espoir, notamment dans la montée du niveau de diplômes détenus par les nouvelles générations de femmes actives.

M. Jérôme Fourquet a fait observer que, même dans les entreprises féminisées, l'accès aux postes de direction restait difficile.

Mme Hélène Luc, rappelant que 35 % des entreprises comprenaient moins de 20 % de femmes, s'est demandé s'il existait des marges de progression en la matière.

Mme Laurence Parisot , prenant l'exemple du BTP, a estimé qu'un certain nombre de métiers de ce secteur pouvait être occupé par des femmes. S'agissant des entreprises publiques, elle a rappelé que le comité directeur de certaines des plus importantes d'entre elles ne comportait aucune femme.

Mme Hélène Luc s'est demandé si l'inapplication de la « loi Génisson » ne devrait pas se traduire plus souvent par une saisine de l'inspection du travail.

Mme Laurence Parisot a rappelé que, notamment en province, les chefs d'entreprise devaient faire face à l'obligation de traiter en urgence des questions essentielles à la survie de l'entreprise. Elle a estimé, en revanche, que les branches devraient consentir plus d'efforts en la matière.

Mme Gisèle Gautier, présidente, a rappelé les « labels égalité » et les divers accords signés par les entreprises à l'initiative du ministère de la parité pour faire progresser l'égalité entre hommes et femmes. Elle a estimé que ces diverses actions devaient avant tout faire l'objet d'une meilleure information en direction des entreprises.

Interrogée par Mme Hélène Luc, qui avait manifesté sa préoccupation à l'égard de la mobilisation des femmes en faveur du rééquilibrage des inégalités, Mme Laurence Parisot s'est dite frappée par la montée, depuis quelques années, d'une certaine misogynie dans le monde du travail, qui provoque chez les femmes plus d'étonnement que de mobilisation. Elle a ajouté que l'interrogation directe des femmes dans l'entreprise mettrait sans doute en évidence des difficultés tenant au climat des relations du travail.

M. Yannick Bodin a marqué son vif intérêt pour le sondage et souligné le défaut d'application de certaines lois en vigueur. Il a rappelé que la féminisation de certains secteurs d'activité correspondait, sinon à une certaine logique, du moins parfois à un désir, pour certaines femmes, de parvenir à une meilleure conciliation de la vie familiale et professionnelle. Il a également évoqué le cas des jeunes femmes très diplômées qui ne trouvent pas de débouchés professionnels et a posé la question de l'efficacité de l'orientation au sein de l'éducation nationale. Il a enfin illustré l'importance de l'évolution des mentalités et des représentations et estimé nécessaire d'analyser les obstacles concrets au travail des femmes, ces dernières préférant par exemple exercer une activité professionnelle dans les entreprises disposant d'une crèche.

Mme Gisèle Gautier, présidente , a rappelé que le rapport annuel de la délégation sur la mixité dans la France d'aujourd'hui avait montré combien l'orientation scolaire était marquée par des stéréotypes sexués. Elle a d'ailleurs noté que le terme « mixité » ne figurait pas dans le code de l'éducation. Les jeunes femmes sont également orientées, trop souvent encore, vers des métiers prétendument féminins. Elle a estimé que si la situation évoluait lentement, des progrès considérables restaient à accomplir.

Mme Annie David a jugé que les résultats du sondage montraient que le diplôme était une garantie d'accès aux postes d'encadrement pour les femmes, ce dont elle s'est réjouie, tout en s'interrogeant sur l'avenir professionnel des femmes qui n'ont pas suivi de longues études. Elle s'est demandé si les femmes diplômées avaient toute la place qu'elles méritaient au sein des entreprises, alors que subsistent des freins importants à leur progression professionnelle, les femmes demeurant, à diplôme égal, moins bien rémunérées que les hommes. Elle a fait part de son étonnement de ce que tant de responsables des ressources humaines aient répondu que les négociations spécifiques prévues par la loi ne seraient pas organisées prochainement. Elle a noté que la méconnaissance des dispositions législatives ne devait pas être surestimée et a jouté que les branches devaient jouer un rôle d'information, en particulier dans les petites et moyennes entreprises. Enfin, elle a considéré que l'orientation scolaire et professionnelle des femmes ne devait pas être subie et que la présence de femmes dans des métiers dits masculins, par exemple dans le BTP, ne posait pas de problèmes, pourvu qu'elle soit acceptée.

Mme Gisèle Printz a félicité la présidente pour l'idée de cette étude et a estimé que le ministère aurait dû lui-même conduire une enquête de ce type. Elle a aussi refusé de faire de la méconnaissance de la loi par les petites et moyennes entreprises un argument acceptable de la mauvaise application de ces dispositions. Elle a souligné que les salaires stagnaient souvent quand une profession se féminisait. Les femmes, a-t-elle estimé, devraient davantage bénéficier des dispositifs de la formation professionnelle.

Mme Laurence Parisot a considéré qu'une entreprise de moins de 100 salariés éprouvait de réelles difficultés à connaître l'ensemble des dispositions législatives qui s'imposaient à elle, ce qui ne doit pas empêcher la recherche d'une meilleure application de la « loi Génisson ». Par ailleurs, elle a souligné l'importance du discours des médias sur les femmes et a noté, à cet égard, les nombreux dérapages sexistes dans la publicité ou sur les ondes de certaines radios écoutées par les jeunes.

Mme Christiane Kammermann s'est félicitée de la grande qualité du sondage effectué par l'IFOP. Elle a estimé, pour sa part, que les femmes ne pouvaient de fait exercer certains métiers, et jugé important que celles-ci conservent leur féminité.

M. Yannick Bodin a précisé sa pensée en indiquant qu'il avait voulu évoquer la question de la pénibilité de certains métiers pour les femmes.

Mme Muguette Dini a relevé, par analogie avec le problème de l'égalité professionnelle, que l'introduction de la parité dans la Constitution avait permis aux femmes, en quelques années, d'être plus nombreuses dans les institutions politiques, leur poids accru permettant de faire évoluer la situation.

Mme Hélène Luc a rappelé le rôle considérable joué, en leur temps, par certaines sénatrices dans la création d'une mission d'information sur la place des femmes dans la vie publique.

Mme Gisèle Gautier, présidente, a relevé, pour s'en féliciter, que la cause des femmes constituait un sujet consensuel allant au-delà des opinions partisanes. Elle a souligné le rôle considérable de la politique volontariste engagée par Mme Nicole Ameline. Enfin, elle a évoqué la suite des travaux de la délégation concernant l'égalité professionnelle et indiqué que la délégation devrait réfléchir aux moyens d'améliorer l'application de la « loi Génisson ».

Puis la délégation a décidé d'autoriser la publication des résultats du sondage sous la forme d'un rapport d'information.

ANNEXE

LOI N° 2001-397 DU 9 MAI 2001
RELATIVE À L'ÉGALITÉ PROFESSIONNELLE
ENTRE LES FEMMES ET LES HOMMES

LOI n° 2001-397 du 9 mai 2001
relative à l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes
(1)

L'Assemblée nationale et le Sénat ont délibéré,

L'Assemblée nationale a adopté,

Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :

TITRE I er

DISPOSITIONS MODIFIANT LE CODE DU TRAVAIL

Chapitre I er

De la négociation collective sur l'égalité professionnelle

Article 1 er

Dans la deuxième phrase du premier alinéa de l'article L. 432-3-1 du code du travail, les mots : « une analyse chiffrée » sont remplacés par les mots : « une analyse sur la base d'indicateurs pertinents, reposant notamment sur des éléments chiffrés, définis par décret et éventuellement complétés par des indicateurs qui tiennent compte de la situation particulière de l'entreprise, ».

Article 2

Dans la première phrase du troisième alinéa de l'article L. 432-3-1 du code du travail, après les mots : « pour tenir compte de l'avis », est inséré le mot : « motivé ».

Article 3

L'article L. 432-3-1 du code du travail est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Les indicateurs mentionnés au premier alinéa du présent article sont portés par l'employeur à la connaissance des salariés par voie d'affichage sur les lieux de travail et, éventuellement, par tout autre moyen adapté aux conditions d'exercice de l'activité de l'entreprise. »

Article 4

L'article L. 132-27 du code du travail est complété par deux alinéas ainsi rédigés :

« Dans les entreprises visées au premier alinéa, l'employeur est également tenu d'engager chaque année une négociation sur les objectifs en matière d'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes dans l'entreprise, ainsi que sur les mesures permettant de les atteindre, à partir des éléments figurant dans le rapport de situation comparée prévu par l'article L. 432-3-1 et complété éventuellement par des indicateurs qui tiennent compte de la situation particulière de l'entreprise. A défaut d'une initiative de ce dernier depuis plus de douze mois suivant la précédente négociation, la négociation s'engage obligatoirement à la demande d'une organisation syndicale représentative dans le délai fixé à l'article L. 132-28 ; la demande de négociation formulée par l'organisation syndicale est transmise dans les huit jours par l'employeur aux autres organisations représentatives. Lorsqu'un accord collectif comportant de tels objectifs et mesures est signé dans l'entreprise, la périodicité de la négociation est portée à trois ans.

« Les mesures permettant d'atteindre les objectifs visés à l'alinéa précédent peuvent être également déterminées dans le cadre des négociations visées au premier alinéa du présent article. »

Article 5

Le début de la première phrase de l'article L. 153-2 du code du travail est ainsi rédigé : « L'employeur qui se soustrait aux obligations prévues à l'article L. 132-27, à celle prévue à l'article L. 132-28... (le reste sans changement). »

Article 6

Après l'article L. 132-27 du code du travail, il est inséré un article L. 132-27-1 ainsi rédigé :

« Art. L. 132-27-1. - Les négociations prévues à l'article L. 132-27 prennent en compte l'objectif d'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. »

Article 7

I. - L'article L. 123-3-1 du code du travail est abrogé.

II. - L'article L. 132-12 du même code est complété par quatre alinéas ainsi rédigés :

« Les organisations visées au premier alinéa se réunissent pour négocier tous les trois ans sur les mesures tendant à assurer l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes et sur les mesures de rattrapage tendant à remédier aux inégalités constatées. La négociation porte notamment sur les points suivants :

« - les conditions d'accès à l'emploi, à la formation et à la promotion professionnelle ;

« - les conditions de travail et d'emploi.

« La négociation sur l'égalité professionnelle se déroule sur la base d'un rapport présentant la situation comparée des hommes et des femmes dans ces domaines et sur la base d'indicateurs pertinents, reposant sur des éléments chiffrés, pour chaque secteur d'activité. »

Article 8

I. - Au premier alinéa de l'article L. 122-46 du code du travail, après les mots : « Aucun salarié », sont insérés les mots : « , aucun candidat à un recrutement, à un stage ou à une période de formation en entreprise ».

II. - Au premier alinéa de l'article L. 122-46 du même code, les mots : « ni licencié » sont remplacés par les mots : « , licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire, directe ou indirecte, notamment en matière de rémunération, de formation, de reclassement, d'affectation, de qualification, de classification, de promotion professionnelle, de mutation ou de renouvellement de contrat ».

III. - Au deuxième alinéa de l'article L. 122-46 du même code, les mots : « ni licencié » sont remplacés par les mots : « , licencié ou faire l'objet d'une mesure discriminatoire ».

IV. - Au premier alinéa de l'article L. 123-6 du même code, après le mot : « articles », sont insérés les mots : « L. 122-46, ».

V. - Au dernier alinéa de l'article L. 123-6 du même code, les mots : « du dernier alinéa de l'article L. 123-1 » sont remplacés par les mots : « de l'article L. 122-46 ».

Article 9

I. - Après l'article L. 132-12 du code du travail, il est inséré un article L. 132-12-1, ainsi rédigé :

« Art. L. 132-12-1. - Les négociations prévues au premier alinéa de l'article L. 132-12 prennent en compte l'objectif d'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. »

II. - Après l'article L. 933-2 du même code, il est inséré un article L. 933-2-1 ainsi rédigé :

« Art. L. 933-2-1. - La négociation prévue au premier alinéa de l'article L. 933-2 prend en compte l'objectif d'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes. »

Article 10

Dans l'article 18 du la loi no 83-635 du 13 juillet 1983 portant modification du code du travail et du code pénal en ce qui concerne l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, les mots : « par des entreprises ou des groupements d'entreprises » sont remplacés par les mots : « ou dans le cadre de toute convention ou accord collectif par les employeurs mentionnés à l'article L. 131-2 du même code ».

Chapitre II

De la représentation des hommes et des femmes
dans les élections professionnelles

Article 11

Après le quatrième alinéa de l'article L. 513-1 du code du travail, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Les artisans, commerçants et agriculteurs peuvent donner mandat, par écrit, à leur conjoint collaborateur mentionné au répertoire des métiers, au registre du commerce et des sociétés ou au registre de protection sociale agricole, de se substituer à eux en vue de l'inscription sur la liste électorale. Un décret en Conseil d'Etat détermine les conditions d'application de cette disposition. »

Article 12

Pour le prochain renouvellement des conseils de prud'hommes, les organisations présentant des listes de candidats devront faire en sorte de présenter une proportion de femmes et d'hommes réduisant d'un tiers, par rapport au précédent scrutin, l'écart entre la représentation du sexe sous-représenté au sein des listes et sa part dans le corps électoral selon les modalités propres à favoriser la progression du pourcentage de femmes élues. Le Gouvernement présentera un rapport d'évaluation au Parlement, dans un délai d'un an à compter de la date du prochain renouvellement des conseils de prud'hommes et après consultation du Conseil supérieur de l'égalité professionnelle et du Conseil supérieur de la prud'homie, sur la mise en oeuvre de cet objectif et sur les moyens permettant d'atteindre lors des scrutins ultérieurs une représentation équilibrée des femmes et des hommes sur les listes, compte tenu de leur place dans le corps électoral.

Article 13

Après le septième alinéa de l'article L. 433-2 du code du travail, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« A l'occasion de l'élaboration du protocole d'accord préélectoral visé ci-dessus, les organisations syndicales intéressées examinent les voies et moyens en vue d'atteindre une représentation équilibrée des femmes et des hommes sur les listes de candidatures. »

Article 14

L'article L. 434-7 du code du travail est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Dans les entreprises employant au moins deux cents salariés, le comité d'entreprise constitue une commission de l'égalité professionnelle qui est notamment chargée de préparer les délibérations du comité d'entreprise prévues à l'article L. 432-3-1. »

Article 15

Après le troisième alinéa de l'article L. 423-3 du code du travail, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« A l'occasion de l'élaboration du protocole d'accord préélectoral visé ci-dessus, les organisations syndicales intéressées examinent les voies et moyens en vue d'atteindre une représentation équilibrée des femmes et des hommes sur les listes de candidatures. »

Article 16

Le Gouvernement transmettra au Parlement, au plus tard le 31 décembre 2003, un rapport faisant le point sur la part respective des hommes et des femmes au sein de l'électorat, parmi les candidats et parmi les élus aux élections aux comités d'entreprise et des délégués du personnel.

Ce rapport dressera notamment un bilan du caractère équilibré ou non de la représentation de chaque sexe, des tendances observées, des initiatives prises par les organisations représentatives des salariés et des employeurs et proposera le cas échéant des mesures, y compris de nature législative ou réglementaire, en vue d'un rattrapage des inégalités constatées.

Chapitre III

De l'encadrement du travail de nuit

Article 17

I. - L'intitulé de la section 1 du chapitre III du titre Ier du livre II du code du travail est ainsi rédigé : « Dispositions générales ».

II. - L'article L. 213-1 du même code est ainsi rédigé :

« Art. L. 213-1. - Le recours au travail de nuit doit être exceptionnel. Il doit prendre en compte les impératifs de protection de la sécurité et de la santé des travailleurs et doit être justifié par la nécessité d'assurer la continuité de l'activité économique ou des services d'utilité sociale.

« La mise en place dans une entreprise ou un établissement du travail de nuit au sens de l'article L. 213-2 ou son extension à de nouvelles catégories de salariés sont subordonnées à la conclusion préalable d'une convention ou d'un accord collectif de branche étendu ou d'un accord d'entreprise ou d'établissement.

« Cet accord collectif doit comporter les justifications du recours au travail de nuit visées au premier alinéa. Compte tenu du caractère dérogatoire du travail de nuit, l'accord collectif ne doit pas avoir fait l'objet d'une opposition en application de l'article L. 132-26. »

III. - Après l'article L. 213-1 du même code, il est inséré un article L. 213-1-1 ainsi rédigé :

« Art. L. 213-1-1. - Tout travail entre 21 heures et 6 heures est considéré comme travail de nuit.

« Une autre période de neuf heures consécutives, comprise entre 21 heures et 7 heures mais comprenant, en tout état de cause, l'intervalle compris entre 24 heures et 5 heures, peut être substituée à la période mentionnée au premier alinéa par une convention ou un accord collectif étendu ou un accord d'entreprise ou d'établissement. A défaut d'accord et lorsque les caractéristiques particulières de l'activité de l'entreprise le justifient, cette substitution peut être autorisée par l'inspecteur du travail après consultation des délégués syndicaux et avis du comité d'entreprise ou des délégués du personnel s'ils existent. »

IV. - L'article L. 213-2 du même code est ainsi rédigé :

« Art. L. 213-2. - Est travailleur de nuit tout travailleur qui :

« 1o Soit accomplit, au moins deux fois par semaine, selon son horaire de travail habituel, au moins trois heures de son temps de travail quotidien durant la période définie à l'article L. 213-1-1 ;

« 2o Soit accomplit, au cours d'une période de référence, un nombre minimal d'heures de travail de nuit au sens de l'article L. 213-1-1.

« Le nombre minimal d'heures de travail de nuit et la période de référence mentionnés au 2o sont fixés par convention ou accord collectif étendu ou, à défaut, par décret en Conseil d'Etat pris après consultation des organisations syndicales les plus représentatives au plan national des employeurs et des salariés. »

V. - L'article L. 213-3 du même code est ainsi rédigé :

« Art. L. 213-3. - La durée quotidienne du travail effectué par un travailleur de nuit ne peut excéder huit heures.

« Il peut être dérogé aux dispositions de l'alinéa précédent par convention ou accord collectif de branche étendu, dans des conditions fixées par décret en Conseil d'Etat, ou lorsqu'il est fait application des dispositions de l'article L. 221-5-1. Il peut également être dérogé aux dispositions du même alinéa en cas de circonstances exceptionnelles, sur autorisation de l'inspecteur du travail donnée après consultation des délégués syndicaux et après avis du comité d'entreprise ou des délégués du personnel s'ils existent, selon des modalités fixées par le décret mentionné au présent alinéa.

« La durée hebdomadaire de travail des travailleurs de nuit, calculée sur une période quelconque de douze semaines consécutives, ne peut dépasser quarante heures. Une convention ou un accord de branche étendu peut porter cette limite à quarante-quatre heures lorsque les caractéristiques propres à l'activité d'un secteur le justifient. A défaut de convention ou d'accord de branche étendu, un décret peut fixer la liste des secteurs pour lesquels cette durée est fixée entre quarante et quarante-quatre heures. »

VI. - L'article L. 213-4 du même code est ainsi rédigé :

« Art. L. 213-4. - Les travailleurs de nuit bénéficient de contreparties au titre des périodes de nuit pendant lesquelles ils sont occupés sous forme de repos compensateur et, le cas échéant, sous forme de compensation salariale.

« L'accord collectif visé à l'article L. 213-1 doit prévoir une contrepartie sous forme de repos compensateur et, le cas échéant, sous forme de compensation salariale. L'accord collectif prévoit, en outre, des mesures destinées à améliorer les conditions de travail des travailleurs, à faciliter l'articulation de leur activité nocturne avec l'exercice de responsabilités familiales et sociales, notamment en ce qui concerne les moyens de transport, et à assurer l'égalité professionnelle entre les femmes et les hommes, notamment par l'accès à la formation. L'accord collectif prévoit également l'organisation des temps de pause.

« Par dérogation à l'article L. 213-1, à défaut de convention ou d'accord collectif et à condition que l'employeur ait engagé sérieusement et loyalement des négociations tendant à la conclusion d'un tel accord, les travailleurs peuvent être affectés à des postes de nuit après autorisation de l'inspecteur du travail accordée notamment après vérification des contreparties qui leur seront accordées au titre de l'obligation définie au premier alinéa ci-dessus, de l'existence de temps de pause et selon des modalités fixées par décret en Conseil d'Etat.

« L'engagement de négociations loyales et sérieuses visé ci-dessus implique le respect par l'employeur des obligations prévues au présent alinéa. Il doit avoir convoqué à la négociation les organisations syndicales représentatives dans l'entreprise et fixé le lieu et le calendrier des réunions. Il doit également leur avoir communiqué les informations nécessaires pour leur permettre de négocier en toute connaissance de cause et avoir répondu aux éventuelles propositions des organisations syndicales. »

VII. - Après l'article L. 213-4 du même code, il est inséré un article L. 213-4-1 ainsi rédigé :

« Art. L. 213-4-1. - Les travailleurs de nuit au sens de l'article L. 213-2 qui souhaitent occuper ou reprendre un poste de jour et les salariés occupant un poste de jour qui souhaitent occuper ou reprendre un poste de nuit dans le même établissement ou, à défaut, dans la même entreprise ont priorité pour l'attribution d'un emploi ressortissant à leur catégorie professionnelle ou d'un emploi équivalent. L'employeur porte à la connaissance de ces salariés la liste des emplois disponibles correspondants. »

VIII. - Après l'article L. 213-4 du même code, il est inséré un article L. 213-4-2 ainsi rédigé :

« Art. L. 213-4-2. - Lorsque le travail de nuit est incompatible avec des obligations familiales impérieuses, notamment avec la garde d'un enfant ou la prise en charge d'une personne dépendante, le salarié peut demander son affectation sur un poste de jour. »

IX. - Après l'article L. 213-4 du même code, il est inséré un article L. 213-4-3 ainsi rédigé :

« Art. L. 213-4-3. - Lorsque le travail de nuit est incompatible avec des obligations familiales impérieuses, notamment avec la garde d'un enfant ou la prise en charge d'une personne dépendante, le salarié peut refuser d'accepter ce changement sans que ce refus constitue une faute ou un motif de licenciement. »

X. - L'article L. 213-5 du même code est ainsi rédigé :

« Art. L. 213-5. - Tout travailleur de nuit bénéficie, avant son affectation sur un poste de nuit et à intervalles réguliers d'une durée ne pouvant excéder six mois par la suite, d'une surveillance médicale particulière dont les conditions d'application sont déterminées par décret en Conseil d'Etat.

« Le travailleur de nuit, lorsque son état de santé, constaté par le médecin du travail, l'exige, doit être transféré à titre définitif ou temporaire sur un poste de jour correspondant à sa qualification et aussi comparable que possible à l'emploi précédemment occupé.

« L'employeur ne peut prononcer la rupture du contrat de travail du travailleur de nuit du fait de son inaptitude au poste comportant le travail de nuit au sens des articles L. 213-1-1 et L. 213-2, à moins qu'il ne justifie par écrit soit de l'impossibilité dans laquelle il se trouve de proposer un poste dans les conditions fixées à l'alinéa précédent, soit du refus du salarié d'accepter le poste proposé dans ces conditions.

« Ces dispositions s'appliquent sans préjudice des articles L. 122-24-4, L. 122-32-5 et L. 241-10-1.

« Dans le cadre du rapport annuel, tel que défini à l'article L. 236-4, soumis par le chef d'établissement pour avis au comité d'hygiène, de sécurité et des conditions de travail, la question du travail de nuit est traitée spécifiquement.

« Le médecin du travail est consulté avant toute décision importante relative à la mise en place ou à la modification de l'organisation du travail de nuit. Les conditions d'application de cette consultation sont déterminées par décret en Conseil d'Etat. »

XI. - L'article L. 213-6 du même code est abrogé.

XII. - Après l'article L. 122-25-1 du même code, il est inséré un article L. 122-25-1-1 ainsi rédigé :

« Art. L. 122-25-1-1. - La salariée en état de grossesse médicalement constaté ou ayant accouché, travaillant dans les conditions fixées à l'article L. 213-2, est affectée à un poste de jour sur sa demande pendant la durée de sa grossesse et pendant la période du congé légal postnatal prévu à l'article L. 122-26. La salariée en état de grossesse médicalement constaté ou ayant accouché, travaillant dans les conditions fixées à l'article L. 213-2, est également affectée à un poste de jour pendant la durée de sa grossesse lorsque le médecin du travail constate par écrit que le poste de nuit est incompatible avec son état. Cette période peut être prolongée lorsque le médecin du travail constate par écrit que le poste de nuit est incompatible avec son état pour une durée n'excédant pas un mois.

« Ce changement d'affectation ne doit entraîner aucune diminution de la rémunération. L'affectation dans un autre établissement est subordonnée à l'accord de la salariée.

« Si l'employeur est dans l'impossibilité de proposer un autre emploi, il fait connaître par écrit à la salariée ou au médecin du travail les motifs qui s'opposent au reclassement. Le contrat de travail de la salariée est alors suspendu jusqu'à la date du début du congé légal de maternité et éventuellement durant la période complémentaire qui suit la fin de ce congé en application du premier alinéa. La salariée bénéficie d'une garantie de rémunération composée d'une allocation journalière versée par la sécurité sociale et d'un complément de rémunération à la charge de l'employeur selon les mêmes modalités que celles prévues par l'accord national interprofessionnel du 10 décembre 1977 annexé à la loi no 78-49 du 19 janvier 1978 relative à la mensualisation et à la procédure conventionnelle hormis les dispositions relatives à l'ancienneté.

« Ces dispositions s'appliquent sans préjudice des articles L. 122-24-4, L. 122-25-2, L. 122-26, L. 224-1 et L. 241-10-1. »

XIII. - Le titre III du livre III du code de la sécurité sociale est complété par un chapitre IV ainsi rédigé :

« Chapitre IV

« Allocations versées aux femmes enceintes dispensées de travail

« Art. L. 334-1. - Les salariées dont le contrat de travail est suspendu en application de l'article L. 122-25-1-1 du code du travail bénéficient d'une allocation journalière selon les conditions de droit fixées à l'article L. 313-1 pour les prestations visées au 2o du I de cet article.

« Les dispositions de l'article L. 313-2 sont applicables pour l'appréciation des conditions d'ouverture du droit à l'allocation journalière.

« Cette allocation est calculée, liquidée et servie selon les dispositions des articles L. 323-4 et L. 323-5 par la caisse primaire d'assurance maladie dont relève la salariée.

« Art. L. 334-2. - L'allocation journalière est accordée à compter de la date de suspension du contrat de travail par l'employeur. Elle peut être supprimée ou suspendue à compter de la date à laquelle les conditions d'attribution ne sont plus remplies.

« Art. L. 334-3. - L'allocation journalière n'est pas cumulable avec :

« 1o L'indemnisation des congés de maternité, de maladie ou d'accident du travail ;

« 2o Le complément de 3e catégorie de l'allocation d'éducation spéciale prévue au 3o de l'article R. 541-2 ;

« 3o L'allocation de présence parentale prévue à l'article L. 544-1 ;

« 4o L'allocation parentale d'éducation à taux plein prévue au 1o de l'article L. 532-1 ;

« 5o L'allocation parentale d'éducation à taux partiel à l'ouverture du droit de celle-ci. »

XIV. - L'article L. 713-9 du code rural est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Les dispositions de la section 1 du chapitre III du titre Ier du livre II du code du travail sont applicables aux salariés mentionnés à l'article L. 713-1. »

XV. - Pour les entreprises dans lesquelles les travailleurs de nuit ne bénéficient pas d'ores et déjà d'une contrepartie sous forme de repos compensateur telle que prévue au premier alinéa de l'article L. 213-4 du code du travail, l'employeur dispose d'un délai d'un an à compter de la date d'entrée en vigueur de la présente loi pour accorder cette contrepartie soit par application d'une convention ou d'un accord collectif étendu, ou d'un accord d'entreprise ou d'établissement, soit, en l'absence de convention ou d'accord, après consultation des délégués syndicaux et avis du comité d'entreprise ou, à défaut, des délégués du personnel.

Article 18

Le Gouvernement remettra au Parlement, avant le 30 juin 2002, un rapport sur l'application de la législation relative au travail de nuit.

TITRE II

DISPOSITIONS RELATIVES A LA FONCTION PUBLIQUE

Article 19

Il est inséré, après l'article 6 de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, un article 6 bis ainsi rédigé :

« Art. 6 bis. - Aucune distinction ne peut être faite entre les fonctionnaires en raison de leur sexe.

« Toutefois, des recrutements distincts pour les femmes ou les hommes peuvent, exceptionnellement, être prévus lorsque l'appartenance à l'un ou à l'autre sexe constitue une condition déterminante de l'exercice des fonctions.

« De même, des distinctions peuvent être faites entre les femmes et les hommes en vue de la désignation, par l'administration, des membres des jurys et des comités de sélection constitués pour le recrutement et l'avancement des fonctionnaires et de ses représentants au sein des organismes consultés sur les décisions individuelles relatives à la carrière des fonctionnaires et sur les questions relatives à l'organisation et au fonctionnement des services, afin de concourir à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes dans ces organes. »

Article 20

Il est inséré, après l'article 6 de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 précitée, un article 6 ter ainsi rédigé :

« Art. 6 ter. - Aucune mesure concernant notamment le recrutement, la titularisation, la formation, la notation, la discipline, la promotion, l'affectation et la mutation ne peut être prise à l'égard d'un fonctionnaire en prenant en considération :

« 1o Le fait qu'il a subi ou refusé de subir les agissements de harcèlement d'un supérieur hiérarchique ou de toute personne qui, abusant de l'autorité que lui confèrent ses fonctions, a donné des ordres, proféré des menaces, imposé des contraintes ou exercé des pressions de toute nature sur ce fonctionnaire dans le but d'obtenir des faveurs de nature sexuelle à son profit ou au profit d'un tiers ;

« 2o Ou bien le fait qu'il a témoigné de tels agissements ou qu'il les a relatés.

« Est passible d'une sanction disciplinaire tout agent ayant procédé aux agissements définis ci-dessus. »

Article 21

Après l'article 6 de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 précitée, il est inséré un article 6 quater ainsi rédigé :

« Art. 6 quater. - Le Gouvernement dépose tous les deux ans sur les bureaux des assemblées parlementaires un rapport sur la situation comparée dans la fonction publique des conditions générales d'emploi et de formation des femmes et des hommes visés à l'article 2 du présent titre. Ce rapport est établi après avis du Conseil supérieur de la fonction publique de l'Etat pour la fonction publique de l'Etat, du Conseil supérieur de la fonction publique territoriale pour la fonction publique territoriale et du Conseil supérieur de la fonction publique hospitalière pour la fonction publique hospitalière. Il comporte une analyse sur la base d'indicateurs pertinents, définis par décret, reposant notamment sur des éléments chiffrés, permettant d'apprécier la situation respective des femmes et des hommes en matière de recrutement, de formation, d'avancement, de conditions de travail et de rémunération effective. Il dresse notamment le bilan des mesures prises pour garantir, à tous les niveaux de la hiérarchie, le respect du principe d'égalité des sexes dans la fonction publique, présente les objectifs prévus pour les années à venir et les actions qui seront menées à ce titre. Le Gouvernement révisera, au vu des conclusions de ce rapport, les dispositions dérogatoires évoquées à l'article 6 bis. »

Article 22

I. - Dans le deuxième alinéa de l'article 2-6 du code de procédure pénale, les mots : « aux quatre derniers alinéas de l'article 6 » sont remplacés par les mots : « à l'article 6 ter ».

II. - Dans l'article 8 de la loi no 92-1179 du 2 novembre 1992 relative à l'abus d'autorité en matière sexuelle dans les relations de travail et modifiant le code du travail et le code de procédure pénale, les mots : « les quatre derniers alinéas de l'article 6 » sont remplacés par les mots : « l'article 6 ter ».

III. - Dans le deuxième alinéa de l'article 6 de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 précitée, les mots : « de leur sexe, » sont supprimés.

IV. - Dans le quatrième alinéa de l'article 6 de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 précitée, les mots : « De même » sont remplacés par le mot : « Toutefois ».

V. - Les troisième, cinquième, sixième, septième et huitième alinéas de l'article 6 de la loi no 83-634 du 13 juillet 1983 précitée sont supprimés.

Article 23

I. - Les avant-dernier et dernier alinéas de l'article 21 de la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique de l'Etat sont supprimés.

II. - Les avant-dernier et dernier alinéas de l'article 37 de la loi no 84-53 du 26 janvier 1984 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique territoriale sont supprimés.

III. - Les avant-dernier et dernier alinéas de l'article 34 de la loi no 86-33 du 9 janvier 1986 portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique hospitalière sont supprimés.

Article 24

L'article 12 de la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 précitée est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Afin de concourir à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes, les membres des organismes consultatifs représentant l'administration sont choisis compte tenu d'une proportion de représentants appartenant à chacun des sexes fixée par décret en Conseil d'Etat. »

Article 25

Après l'article 20 de la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 précitée, il est inséré un article 20 bis ainsi rédigé :

« Art. 20 bis. - Les jurys dont les membres sont désignés par l'administration sont composés de façon à concourir à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes.

« Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application du présent article, et notamment la proportion des membres des jurys appartenant à chacun des sexes. »

Article 26

Il est inséré, après l'article 26 de la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 précitée, un article 26 bis ainsi rédigé :

« Art. 26 bis. - Les jurys et les comités de sélection, dont les membres sont désignés par l'administration, sont composés de façon à concourir à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes. Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application du présent article et notamment la proportion des membres des jurys et des comités de sélection appartenant à chacun des sexes. »

Article 27

Après l'article 58 de la loi no 84-16 du 11 janvier 1984 précitée, il est inséré un article 58 bis ainsi rédigé :

« Art. 58 bis. - Les jurys et les comités de sélection constitués pour la promotion dans un grade, dont les membres sont désignés par l'administration, sont composés de façon à concourir à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes.

« Un décret en Conseil d'Etat fixe les conditions d'application du présent article et notamment la proportion des membres des jurys et comités de sélection appartenant à chacun des sexes. »

Article 28

L'article 42 de la loi no 84-53 du 26 janvier 1984 précitée est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Les jurys sont composés de façon à concourir à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes. »

Article 29

Après le deuxième alinéa de l'article 20 de la loi no 86-33 du 9 janvier 1986 précitée, il est inséré un alinéa ainsi rédigé :

« Afin de concourir à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes, les membres représentant l'administration sont choisis compte tenu d'une proportion de représentants appartenant à chacun des sexes fixée par décret en Conseil d'Etat. »

Article 30

Après l'article 30 de la loi no 86-33 du 9 janvier 1986 précitée, il est inséré un article 30-1 ainsi rédigé :

« Art. 30-1. - Les jurys dont les membres sont désignés par l'autorité organisatrice de concours compétente sont composés de façon à concourir à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes. »

Article 31

L'article 35 de la loi no 86-33 du 9 janvier 1986 précitée est complété par un alinéa ainsi rédigé :

« Les jurys dont les membres sont désignés par l'autorité organisatrice des examens professionnels compétente sont composés de façon à concourir à une représentation équilibrée entre les femmes et les hommes. »

TITRE III

Dispositions diverses et transitoires

Article 32

Les dispositions du titre II de la présente loi relatives aux organismes consultatifs s'appliquent à compter de la date du prochain renouvellement de ces organes suivant la date de publication du décret en Conseil d'Etat prévu aux articles 24 et 29 de la présente loi.

Article 33

Les dispositions du titre II de la présente loi relatives à la composition des jurys et des comités de sélection sont applicables aux jurys et comités de sélection dont la composition est fixée après la publication du décret en Conseil d'Etat fixant les modalités d'application des articles 25, 27, 28, 30 et 31 de la présente loi.

Article 34

Dans le premier alinéa de l'article 8 de la loi no 75-3 du 3 janvier 1975 portant diverses améliorations et simplifications en matière de pensions ou allocations des conjoints survivants, des mères de famille et des personnes âgées, les mots : « femmes célibataires » sont remplacés par les mots : « femmes et hommes célibataires ».

La présente loi sera exécutée comme loi de l'Etat.

Fait à Paris, le 9 mai 2001.

Jacques Chirac

Par le Président de la République :

Le Premier ministre,

Lionel Jospin

La ministre de l'emploi et de la solidarité,

Elisabeth Guigou

Le ministre de l'agriculture et de la pêche,

Jean Glavany

Le ministre de la fonction publique et de la réforme de l'Etat,

Michel Sapin

La secrétaire d'Etat aux droits des femmes et à la formation professionnelle,

Nicole Péry

(1) Loi n° 2001-397.

- Directives communautaires :

Directive 76/207/CEE du 9 février 1976 relative à la mise en oeuvre du principe de l'égalité de traitement entre les hommes et les femmes en ce qui concerne l'accès à l'emploi, à la formation et à la promotion professionnelle et les conditions de travail ;

Directive 92/85/CEE du Conseil du 19 octobre 1992 concernant la mise en oeuvre des mesures visant à promouvoir l'amélioration de la sécurité et de la santé des travailleuses enceintes, accouchées ou allaitantes au travail.

- Travaux préparatoires :

Assemblée nationale :

Proposition de loi n° 2132 ;

Rapport de Mme Catherine Génisson, au nom de la commission des affaires culturelles, n° 2220 ;

Avis de Mme Nicole Feidt, au nom de la commission des lois, n° 2225 ;

Rapport d'information de M. André Vallini, au nom de la délégation aux droits des femmes, n° 2226 ;

Discussion et adoption le 7 mars 2000.

Sénat :

Proposition de loi, adoptée par l'Assemblée nationale, n° 258 (1999-2000) ;

Rapport de Mme Annick Bocandé, au nom de la commission des affaires sociales, n° 475 (1999-2000) ;

Avis de M. René Garrec, au nom de la commission des lois, n° 1 (2000-2001) ;

Rapport d'information de M. Gérard Cornu, au nom de la délégation aux droits des femmes, n° 347 (1999-2000) ;

Discussion et adoption le 3 octobre 2000.

Assemblée nationale :

Proposition de loi, modifiée par le Sénat, n° 2604 ;

Rapport de Mme Catherine Génisson, au nom de la commission des affaires culturelles, n° 2744 ;

Avis de Mme Nicole Feidt, au nom de la commission des lois, n° 2698 ;

Rapport d'information de Mme Nicole Bricq, au nom de la délégation aux droits des femmes, n° 2703 ;

Discussion et adoption le 28 novembre 2000.

Sénat :

Proposition de loi, adoptée avec modifications par l'Assemblée nationale en deuxième lecture, n° 111 (2000-2001) ;

Rapport de Mme Annick Bocandé, au nom de la commission des affaires sociales, n° 132 (2000-2001) ;

Discussion et adoption le 20 décembre 2000.

Assemblée nationale :

Proposition de loi, modifiée par le Sénat en deuxième lecture, n° 2838 ;

Rapport de Mme Catherine Génisson, au nom de la commission mixte paritaire, n° 2866.

Sénat :

Rapport de Mme Annick Bocandé, au nom de la commission mixte paritaire, n° 189 (2000-2001).

Assemblée nationale :

Proposition de loi, modifiée par le Sénat en deuxième lecture, n° 2838 ;

Rapport de Mme Catherine Génisson, au nom de la commission des affaires culturelles, n° 2882 ;

Avis de Mme Nicole Feidt, au nom de la commission des lois, n° 2875 ;

Discussion et adoption le 30 janvier 2001.

Sénat :

Proposition de loi, adoptée par l'Assemblée nationale en nouvelle lecture, n° 208 (2000-2001) ;

Rapport de Mme Annick Bocandé, au nom de la commission des affaires sociales, n° 251 (2000-2001) ;

Discussion et rejet le 17 avril 2001.

Assemblée nationale :

Proposition de loi, rejetée par le Sénat en nouvelle lecture, n° 208 ;

Rapport de Mme Catherine Génisson, au nom de la commission des affaires culturelles, n° 3005 ;

Discussion et adoption, en lecture définitive, le 24 avril 2001.

* 1 Rapport d'information n° 210 (2002-2003) de Mme Gisèle Gautier.

* 2 Rapport d'information n° 347 (1999-2000).

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