Appartenance politique :
Membre du Groupe socialiste
État civil :
Né le 3 août 1896
Décédé le 29 janvier 1986
Profession :
Directeur d'école
Département :
Nord
Vème République

Ancien sénateur de la Ve République


Travaux parlementaires

Ve République  (Extrait du Dictionnaire des parlementaires français)

Ve République

DAROU (Marcel, Henri, Elie)

Né le 3 août 1896 à Hazebrouck (Nord)

Décédé le 29 janvier 1986 à Hazebrouck (Nord)

Membre de la première et de la seconde Assemblée nationale Constituante (Nord)

Député du Nord de 1946 à 1958

Originaire de la région du Nord, fils d'un cantonnier des Ponts-et-chaussées, Marcel Darou est né le 3 août 1896 à Hazebrouck. Après le brevet supérieur, il entre comme élève-maître à l'Ecole normale de Nancy (Meurthe-et-Moselle) de 1912 à 1914, puis revient comme instituteur dans sa ville natale.

Il est mobilisé en 1914 dès l'ouverture des hostilités, et sa conduite pendant la Première Guerre mondiale lui vaudra la Croix de guerre 1914-1918 avec trois citations. A l'issue du conflit, Marcel Darou épouse Bérangère Girion (27 décembre 1919) et reprend ses fonctions d'instituteur à Prédelles (1919), puis à Hazebrouck (1920). En 1935, il devient directeur d'école à Morbecque, un gros bourg proche d'Hazebrouck, puis, lors de la rentrée scolaire de 1938, il est nommé directeur de l'école primaire Jean Macé à Hazebrouck, établissement qu'il abandonne pour l'école Ferdinand Buisson dès l'année suivante.

Mais Marcel Darou, s'est, dans le même temps, orienté vers l'action proprement politique. Il est inscrit au Parti socialiste (section Hazebrouck) dès les années 1920, et son premier mandat électif est celui de membre du Conseil municipal, puis d'adjoint et de premier adjoint au maire d'Hazebrouck à partir de 1935 ; il retrouvera ce mandat dès 1944 et le conservera jusqu'en 1965. L'activité anti-allemande développée par Marcel Darou pendant la Seconde Guerre mondiale lui vaut la Croix de guerre 1939-1945 avec palmes.

Lors du scrutin du 21 octobre 1945, pour la première Assemblée nationale Constituante, Marcel Darou conduit la liste S.F.I.O. dans la première circonscription du Nord où quatre sièges sont à pourvoir. Il est élu, avec 29 342 voix sur 107 854 suffrages exprimés (27,2 % des voix), le M.R.P. emportant deux des sièges et la liste « Voix du Nord » le quatrième. Nommé membre de la Commission des pensions civiles et militaires et des victimes de la guerre et de la répression, et de celle des dommages de guerre, Marcel Darou dépose trois rapports sur des propositions de loi relatives notamment à des problèmes de l'immédiat après-guerre (primes de retour de déportation, etc.), et il intervient en outre dans la discussion du budget de 1946, à propos de la reconstruction de la région dunkerquoise, très touchée par les opérations militaires et les bombardements.

Favorable à la nationalisation des banques (2 décembre 1945), Marcel Darou appuie également celle de l'électricité et du gaz (23 mars 1946), ainsi que la dévolution des biens de presse (16 avril 1946). Le 19 avril 1946, il soutient le projet de Constitution, mais le rejet de celui-ci par le référendum du 5 mai suivant nécessite la convocation rapide d'une nouvelle Assemblée Constituante.

Les élections pour la seconde Assemblée nationale Constituante ont donc lieu dès le 2 juin 1946 et Marcel Darou, qui conduit à nouveau la liste du Parti socialiste S.F.I.O. dans la première circonscription du Nord, reprend son siège, avec 37 213 voix sur 120 874 suffrages exprimés (30,7 % des voix). Il retrouve, à l'Assemblée, les deux mêmes Commissions que précédemment.

Député toujours actif Marcel Darou dépose six textes portant notamment sur le problème du dédommagement des ouvriers et ouvrières licenciés en application de la loi du 12 mai 1941. Il intervient en outre à trois reprises lors de discussions sur des problèmes liés aux dommages de guerre et aux réparations, avant d'approuver, le 28 septembre 1946, le nouveau projet de Constitution. Celui-ci ayant été entériné par le référendum du 27 octobre 1946, il peut être procédé à l'élection d'une Assemblée nationale législative.

Marcel Darou sollicite à nouveau le renouvellement de son mandat lors des élections du 10 novembre 1946, toujours comme tête de liste du Parti socialiste S.F.I.O. dans la première circonscription du Nord (Dunkerque). La liste socialiste rassemble 38 936 voix sur 122 722 suffrages exprimés (31,7 % des voix), et Marcel Darou est donc élu député du Nord pour la première législature de la IVe République. Il entre, à l'Assemblée, dans la Commission de la reconstruction et des dommages de guerre (1946-1951), et dans celle des pensions (1946-1951) dont il devient secrétaire (1948-1951) et est en outre juré à la Haute Cour de justice (1946).

Au cours de cette législature Marcel Darou ne dépose pas moins de trente textes, la plupart relatifs à la réévaluation de certaines retraites ou pensions, et il est notamment à l'origine de deux propositions de loi tendant à établir un statut des déportés du travail (1er décembre 1948) et des réfractaires (11 février 1949). Rapporteur sur ce dernier texte (23 mai et 3 août 1950), il intervient aussi très fréquemment dans les débats, sur le statut des combattants volontaires de la Résistance (14 décembre 1948), la majoration des pensions des anciens combattants et victimes de guerre (12 avril 1949) ou encore la politique gouvernementale à leur égard (24 mars 1950) et les difficultés qu'ils peuvent rencontrer (21 juin 1950).

Marcel Darou soutient Paul Ramadier lors du scrutin à la suite duquel celui-ci se séparera de ses ministres communistes (4 mai 1947) et approuve le projet de loi sur le statut de l'Algérie (27 août) puis la nationalisation des écoles des houillères (14 mai 1948). Favorable au plan Marshall (7 juillet), il soutient le développement de l'unité européenne en approuvant la constitution du Conseil de l'Europe (9 juillet 1949) et se prononce pour la ratification du pacte de l'Atlantique (26 juillet). Enfin, le 7 mai 1951, Marcel Darou appuie la réforme électorale instituant le scrutin de liste majoritaire départemental à un tour avec apparentements.

Aucun apparentement n'a été conclu dans la première circonscription du Nord, où Marcel Darou se présente à nouveau comme tête de liste S.F.I.O. devant les électeurs lors des législatives du 17 juin 1951. Malgré un certain tassement de son score (33 602 voix sur 128 937 suffrages exprimés, soit 26,1 % du total), il arrive en tête des candidats des cinq listes en présence et est donc facilement réélu. Nommé membre suppléant (1951-1954) puis membre titulaire (1955) de la Commission des finances, et membre de celle de la comptabilité (1951-1955), il est également désigné par la première pour représenter l'Assemblée nationale au sein de la Commission supérieure de classement des recettes buralistes.

Il dépose quarante textes au cours de cette législature, toujours orientés en majorité vers les problèmes de l'armée ou ceux des anciens combattants et victimes de guerre. Rapporteur sur les opérations électorales du territoire du Soudan (2 et 22 août 1951), Marcel Darou est également, à plusieurs reprises, rapporteur du budget des anciens combattants et victimes de guerre. Dans les débats, il intervient très fréquemment sur ces sujets, mais aussi au cours de la discussion d'interpellations, sur la politique gouvernementale en Afrique du Nord, à propos des réformes et de la situation en Algérie (3 février 1955), etc. Le 18 février 1955, il prend part activement au débat sur l'investiture du président du Conseil désigné, par des observations sur les budgets de la guerre et de l'agriculture en U.R.S.S.

Opposé au compte spécial scolaire (21 septembre 1951), Marcel Darou approuve le projet de pool charbon-acier (13 décembre), mais il refuse l'investiture à Antoine Pinay (6 mars 1952), puis à Joseph Laniel (26 juin 1953). Partisan de la signature d'un cessez-le-feu en Indochine (9 mars 1954), il refuse la confiance au gouvernement après Diên-Biên-Phû (13 mai), puis lors du vote du 12 juin suivant qui entraîne la chute du cabinet Laniel. Favorable à l'investiture de Pierre Mendès-France (17 juin 1954), Marcel Darou approuve les accords de Genève qui mettent fin aux hostilités en Indochine (23 juillet). Enfin, européen convaincu, il vote contre la question préalable opposée par Edouard Herriot et le général Aumeran à la ratification du traité sur la Communauté européenne de défense, dont l'adoption entraînera le rejet du traité (30 août), mais approuve la signature des accords de Paris permettant le réarmement de la R.F.A. et son entrée dans l'O.T.A.N. (29 décembre).

Après la chute du cabinet Mendès-France, Marcel Darou refuse la confiance à Edgar Faure (23 février 1955), et vote contre l'état d'urgence en Algérie (31 mars), puis il se prononce également contre la confiance lors du vote du 29 novembre 1955 sur le mode de scrutin et la date des élections. Le 2 décembre suivant, l'Assemblée nationale est dissoute, et des élections législatives anticipées doivent donc être organisées.

Celles-ci ont lieu le 2 janvier 1956 et Marcel Darou conduit à nouveau la liste du Parti socialiste S.F.I.O. devant les électeurs de la première circonscription du Nord, où un accord d'apparentement a été conclu entre les listes socialistes S.F.I.O. et radicale-socialiste. Le score obtenu par Marcel Darou (47 674 suffrages exprimés) lui permet d'être facilement réélu. Albert Denvers, sénateur maire de Gravelines, qui figurait en second sur la liste socialiste rassemble quant à lui 49 124 voix, et emporte donc un deuxième siège pour les socialistes, siège pris à Auguste Damette, député sortant et candidat des indépendants.

Membre titulaire (1956) et secrétaire (1958) de la Commission des finances, Marcel Darou entre également à celle de la comptabilité (1957). Il est désigné par la première pour siéger à la Commission supérieure de classement des recettes buralistes (1956) et à la Sous-commission des entreprises nationalisées (1957). Enfin, il est élu pour représenter l'Assemblée nationale au sein du Comité financier du conseil d'administration de la Caisse autonome d'amortissement (1956) et de la Commission supérieure des caisses d'épargne (1956).

Toujours très actif, Marcel Darou dépose sept textes au cours de cette législature dont six sont relatifs aux problèmes des anciens combattants, réfractaires et victimes de guerre. Une dernière proposition de loi vise à créer une carte professionnelle de libraire (24 juillet 1957). Enfin, il intervient à nouveau fréquemment dans les débats, notamment lorsque ceux-ci viennent sur le statut et la situation des anciens combattants.

Il vote l'investiture de Guy Mollet (31 janvier 1956) et le programme de réforme en Algérie (12 mars), et approuve la politique générale du gouvernement en Afrique du Nord (5 juin). Egalement favorable à l'investiture du gouvernement Bourgès-Maunoury (12 juin 1957), Marcel Darou ratifie, le 9 juillet 1957, les traités instituant la C.E.E. et l'Euratom, puis la loi cadre sur l'Algérie lors du scrutin du 30 septembre 1957 qui entraîne la chute du cabinet Bourgès-Maunoury.

Enfin, Marcel Darou intervient dans les principaux votes qui devaient conduire au changement de régime, votant, après la chute du gouvernement Félix Gaillard (15 avril 1958) et l'échec de formation des cabinets Bidault, puis Pleven, l'investiture à Pierre Pflimlin (13 mai). Il approuve face à la crise de régime déclenchée par les manifestations d'Alger, l'état d'urgence sur le territoire métropolitain (16 mai), puis, la résolution tendant à décider la révision de certains articles de la Constitution (27 mai 1958). Mais, le 1er juin 1958 Marcel Darou refuse la confiance au général de Gaulle, et il s'oppose, le lendemain, à l'octroi des pleins pouvoirs. Enfin, il ne prend pas part au vote sur la révision constitutionnelle (2 juin 1958).

Marcel Darou est décédé à Hazebrouck le 20 janvier 1986. Commandeur de la Légion d'honneur, des Palmes académiques et du Mérite combattant, il était également titulaire de la Médaille des évadés, et officier de l'ordre de Léopold de Belgique.

DAROU (Marcel, Henri, Elie)

Né le 3 août 1896 à Hazebrouck (Nord)

Décédé le 29 janvier 1986 à Hazebrouck (Nord)

Membre de la première et de la seconde Assemblée nationale constituante

Député du Nord de 1946 à 1958

Sénateur du Nord de 1961 à 1974

(Voir première partie de la biographie dans le dictionnaire des parlementaires français 1940-1958, tome III, pages 256-259)

Battu aux élections législatives du 30 novembre 1958, Marcel Darou devient sénateur du Nord le 20 septembre 1961, en remplacement de Marcel Bertrand, décédé. Il s'inscrit au groupe socialiste de la Haute Assemblée, puis il est nommé membre de la commission des affaires sociales. Il y siège à nouveau après sa réélection du 26 septembre 1965, et en assume la présidence de 1971 à 1974.

Dès son arrivée au Palais du Luxembourg, Marcel Darou reprend son action en faveur des anciens combattants. Il intervient en qualité de rapporteur sur le projet de loi relatif à la prise en compte du congé d'armistice pour certaines pensions militaires (1961), et interroge le ministre des Anciens combattants et victimes de guerre sur la situation des pensionnés de guerre (1962 et 1964). Après avoir questionné le Gouvernement pour connaître les raisons du refus d'attribution de la carte du combattant aux anciens d'Algérie, du Maroc et de la Tunisie (1965 et 1967), il dépose un rapport sur deux propositions de loi en faveur de cette mesure (1968). Jusqu'à la fin de son mandat, il intervient régulièrement en séance publique pour prendre la défense des veuves et orphelins de guerre (1968), des militaires ayant pris part aux combats en Afrique du Nord (1970), et des anciens prisonniers de guerre (1973). Chaque année de 1961 à 1973, il intervient au cours de la discussion du budget sur les crédits consacrés aux anciens combattants, à la Légion d'honneur et à l'ordre de la Libération. Son intervention du 24 novembre 1972 témoigne de son franc-parler et de son souci permanent d'améliorer les conditions de vie des hommes qui se sont battus « pour que la France reste un pays libre » : « Je voudrais aussi parler de la retraite accordée aux anciens combattants de 1939-1945. [...] Cette retraite était fixée au niveau de 35 francs par an depuis des années, malgré la dévaluation de la monnaie et l'augmentation constante du coût de la vie. Vous faîtes un petit effort - quatre centimes de plus par jour - pour porter cette retraite à 50 francs par an. Permettez-moi de vous dire qu'une pareille augmentation est ridicule et insuffisante. Cette mesure que vous aviez d'ailleurs qualifiée « d'exceptionnelle » est dérisoire et ne peut donner satisfaction à personne ».

Marcel Darou s'investit également dans le domaine social, qu'il s'agisse de l'exercice du droit syndical dans les entreprises (1968), ou de la prévention des accidents du travail et du reclassement des travailleurs handicapés (1970). Il dépose deux rapports d'information rédigés à la suite de missions effectuées sur les problèmes d'ordre social et sanitaire qui se posent à la Réunion (1972), et sur les divers régimes de protection sociale dans les pays membres de la Communauté économique européenne (1973). La même année, il évoque en séance publique l'état de la réforme hospitalière, rappelant au Gouvernement sa promesse non tenue de prendre rapidement les décrets nécessaires à sa mise en oeuvre.

Bien qu'il n'exerce plus de mandats locaux depuis 1959, il consacre toujours une part de son temps aux affaires de son département. Il interroge le Gouvernement sur les problèmes de logement rencontrés par les étudiants de Lille, et sur la pénurie de main-d'oeuvre dans les industries de l'ameublement du Nord. Il intervint également sur la construction de l'autoroute entre Dunkerque et Lille, et sur la nécessité de créer une nouvelle école normale dans l'arrondissement de Dunkerque. Le 2 décembre 1969, il appelle l'attention du Gouvernement sur la situation de l'enseignement dans Nord, jetant un véritable « cri d'alarme » et élevant une « protestation justifiée » contre l'insuffisance des prévisions budgétaires pour l'année 1970 : « Comment se présente la situation de notre département que vous connaissez sans doute très bien, monsieur le secrétaire d'Etat, puisque vous étiez député de Lille ? On constate tout d'abord une sous-scolarisation importante au niveau du premier cycle. [...] Cette sous-scolarisation ne peut qu'avoir des conséquences très fâcheuses dans le domaine économique et elle est totalement contraire à la volonté si souvent exprimée d'assurer une véritable reconversion économique de notre région qui en a tant besoin, hélas ! On constate ensuite une nette insuffisance des postes budgétaires. Certes, il y a des créations, mais il n'est pas rare de voir encore aujourd'hui plus de 50 élèves dans les classes des écoles maternelles, plus de 35 dans celles des écoles élémentaires. [...] En matière de locaux scolaires, le retard dans la construction est dû très souvent à un déblocage tardif des crédits. [...] De nombreux locaux sont inadaptés ou surchargés. [...] Dans la plupart des établissements, l'insuffisance, voire l'absence des installations sportives, rend impossible l'application du programme normal d'éducation physique, déjà fortement perturbé par l'insuffisance des postes de professeurs. [...] Monsieur le ministre, vous avez, pour vous aider et vous seconder, un secrétaire d'Etat, M. Pierre Billecocq, qui était député de Lille. Il doit connaître la situation difficile de notre département et prendre toutes dispositions utiles et rapides pour y remédier. C'est l'intérêt profond de cette si nombreuse et vivante jeunesse de notre région. »

Au cours des années passées au Sénat, Marcel Darou vote pour la loi portant réforme des régimes matrimoniaux (1965), pour la loi Neuwirth relative à la régulation des naissances (1967), et contre la loi portant création et organisation des régions (1972). Il s'abstient lors du scrutin public sur la loi Royer d'orientation du commerce et de l'artisanat (1973), et vote pour la loi portant à 18 ans l'âge de la majorité (1974).

Son mandat cesse le 1er octobre 1974, lorsqu'il décide de ne pas se représenter aux élections sénatoriales du 22 septembre. Membre de droit du conseil régional du Nord-Pas-de-Calais depuis sa création, il perd par la même occasion son siège dans cette assemblée locale, et se retire de la vie publique. Il décède douze ans plus tard, dans sa quatre-vingt-dixième année.

Devenu Sénateur le 20 septembre 1961 (en remplacement de M. Marcel BERTRAND)
Elu le 26 septembre 1965
Fin de mandat le 1er octobre 1974 (ne se représente pas)

Président de la commission des affaires sociales

Député

Membre de la commission des affaires sociales
Membre du Groupe socialiste

Extrait de la table nominative

Résumé de l'ensemble des travaux parlementaires
de Marcel DAROU

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