Question de Mme BELRHITI Catherine (Moselle - Les Républicains) publiée le 24/06/2021

Mme Catherine Belrhiti attire l'attention de Mme la ministre de la transition écologique sur le retour en France, à l'occasion du printemps et de l'été, de l'invasion des chenilles urticantes, dites « processionnaires ». Cette espèce provoque de multiples dommages sur la forêt, les animaux et les humains.
De nombreuses régions connaissent déjà les nombreux dégâts provoqués par ces chenilles : démangeaisons, allergies et ulcération pour les humains ou les animaux, destruction des arbres et de leurs feuilles pour les végétaux. Les impacts sont sanitaires, écologiques, économiques et touristiques.
Des initiatives locales visant à traiter ce problème ont déjà été prises, mais les nombreux enjeux soulevés par cette invasion appellent une réponse coordonnée des services de l'État, aux niveaux national et territorial, afin d'agir avec plus d'efficacité que ne pourraient le faire, seuls, l'office national des forêts (ONF), la direction régionale de l'environnement, de l'aménagement et du logement (DREAL), les acteurs privés ou les communes.
Elle lui demande quel plan de prévention et d'action l'État peut mettre en place pour lutter contre ce véritable fléau à l'occasion de la prochaine saison.

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Transmise au Secrétariat d'État auprès de la ministre de la transition écologique, chargé de la biodiversité


Transformée en Question orale (n°1846S)

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