Question de M. ROUX Olivier (Français établis hors de France - UC) publiée le 09/04/1987

M.Olivier Roux attire l'attention de M. le ministre délégué auprès du ministre de l'économie, des finances et de la privatisation, chargé du commerce extérieur, sur les V.S.N.A. (volontaires du service national actif) envoyés par l'A.C.T.I.M. (Agence pour la coopération technique industrielle et économique) en Asie du Sud-Est pour y exercer une coopération tant dans une entreprise privée que dans un port d'expansion économique ou une chambre de commerce. Ayant eu connaissance du projet de son ministère d'augmenter le nombre de V.S.N.A. de l'A.C.T.I.M., il lui demande, d'une part, quelle sera l'augmentation totale du nombre de postes de V.S.N.A. pour l'année 1987 et, d'autre part, à combien sera porté le nombre de jeunes coopérants envoyés en Asie du Sud-Est.

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Réponse du ministère : Commerce extérieur publiée le 25/06/1987

Réponse. -Le service de l'expansion économique à l'étranger dispose actuellement pour son réseau de postes et antennes et pour les chambres de commerce à l'étranger d'un effectif d'environ 330 volontaires du service national actif dont 17 affectés dans la zone du Sud-Est asiatique (14 en poste et 3 en chambre de commerce). Ces volontaires du service national actif, choisis comme les volontaire du service national-entreprises parmi les jeunes diplômés de l'enseignement supérieur, commercial, économique ou scientifique, ne dépendent toutefois pas de la procédure gérée par l'agence pour la coopération technique, industrielle et économique, mais relèvent du budget du service de l'expansion économique ; ils constituent pour les postes et les chambres de commerce auprès desquels ils sont affectés un appoint indispensable et rendent d'inconstestables services à nos exportateurs par le dynamisme, la motivation et les compétences dont ils savent en général faire preuvedans l'exercice des tâches qui leur sont confiées En ce qui concerne les coopérants en entreprises (V.S.N.E.), il n'y a pas réellement de limite de nombre. Toutefois, les entreprises qui souhaitent faire appel à un tel coopérant peuvent le faire savoir à la D.R.E.E. qui, en règle générale, donne une réponse favorable au projet.

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