Le résumé

Créée en 1800 pour réunir entre les mains d'une seule personne l'ensemble des pouvoirs de police de la capitale, la préfecture de police continue d'occuper une place singulière au sein de l'organisation policière qui ne connaît aucun véritable équivalent en France et à l'étranger.

Or, il apparaît que l'institution est aujourd'hui fragilisée par la complexité de son organisation et l'enchevêtrement de ses compétences.

Dans un contexte marqué par une forte hausse de la délinquance et une diminution importante de ses effectifs, la préfecture de police est ainsi l'objet d'une contestation croissante sur le plan politique.

En outre, l'institution n'est pas suffisamment attractive pour les policiers, qui demandent à quitter la préfecture de police dès la fin de leur obligation minimale de service. Cette difficulté est renforcée par le manque d'entretien du parc immobilier, dont la vétusté nuit aux conditions de travail du personnel et d'accueil du public.

Afin de remédier à ces faiblesses, Philippe Dominati formule neuf recommandations.

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