Le résumé

Chaque année, 130 000 personnes sont hospitalisées pour un accident vasculaire cérébral (AVC) en France. Les AVC sont devenus la deuxième cause de décès par maladie vasculaire et la 1ère cause de handicap invalidant dans notre pays.

Deux progrès majeurs -les unités de soin neuro-vasculaire et la thrombolyse médicamenteuse-, ont apporté à la thérapeutique des moyens de lutte décisifs dans le traitement des accidents vasculaires cérébraux (AVC). Mais les victimes d'AVC ne peuvent en tirer un bénéfice que dans le cadre d'une organisation des soins permettant une prise en charge précoce. C'est pourquoi l'OPEPS a engagé une étude destinée à évaluer la prise en charges des AVC en France, l'objectif de parvenir à un certain nombre de recommandations propres à améliorer le dispositif actuel. L'étude a été confiée, après appel d'offres, au bureau d'études REES-france (réseau d'évaluation en économie de la santé) qui a travaillé en collaboration avec la société française neuro-vasculaire (SFNV) et la Société française d'économie de la santé (SFES).

Après un état des lieux des pratiques actuelles et des préconisations professionnelles, l'étude revient sur les perspectives d'évolution à court terme de l'offre de soins et identifie les obstacles à une prise en charge précoce des AVC.

Sur la base de cette étude, le rapport présenté par M. Jean Bardet présente douze propositions pour faciliter l'accès des victimes d'AVC aux unités neuro-vasculaires et à la thrombolyse, dans le cadre de dispositifs régionaux de prise en charge cohérents et efficaces

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