
Lutte contre l'illectronisme et inclusion numérique
Mercredi 13 janvier 2021, le Sénat a débattu des conclusions du rapport de la mission d'information "Lutte contre l’illectronisme et inclusion numérique", à la demande du groupe RDSE.

Éléments clés
- La présentation à la presse du rapport de la mission d'information
- Les travaux de la mission d'information sur la lutte contre l'illectronisme et pour l'inclusion numérique
- Contact
Débat en séance publique (13 janvier 2021)
Mercredi 13 janvier 2021, le Sénat a débattu des conclusions du rapport de la mission d'information "Lutte contre l'illectronisme et inclusion numérique", à la demande du groupe RDSE.
Conférence de presse (17 septembre 2020)
Jeudi 17 septembre 2020, Raymond VALL, rapporteur, a présenté à la presse les conclusions du rapport de la mission d'information sur la lutte contre l'illectronisme et pour l'inclusion numérique, créée à la demande du groupe du Rassemblement démocratique et social européen et présidée par Jean-Marie MIZZON.
- Le rapport d'information de Raymond VALL, fait au nom de la MI Illectronisme et inclusion numérique"La lutte contre l'illectronisme et pour l'inclusion numérique"
- La synthèse du rapport
- La note de synthèse en facile à lire et à comprendre
- L'infographie
- Le communiqué de presse
Comprendre les enjeux
Le plan de relance annonce 250 millions d’euros en faveur d’une politique plus ambitieuse que la Stratégie nationale pour un numérique inclusif de 2018.
Alors que l’illectronisme approfondit la fracture sociale et générationnelle et devient un handicap majeur dans une société toujours plus numérisée, particulièrement dans les relations avec une administration fermant ses guichets, réduisant son implantation territoriale et mettant le cap sur le 100% dématérialisé, la politique publique d’inclusion numérique est-elle assez financée, efficace et bien dimensionnée ?
Après plus de 90 auditions, 4 tables-rondes et un déplacement sur le terrain, la mission d’information du Sénat livre ses conclusions et prône un effort substantiel en faveur de la médiation numérique pour mieux aider les publics les plus fragiles, notamment en situation de handicap, pour mieux lutter contre l’exclusion par le coût, angle mort de la politique publique, pour construire une "Éducation nationale 2.0" et pour engager un choc de qualification numérique des salariés.